Author Archives: SunOf

Mauvaise surprise pour fantaisie vestimentaire

Il y a des jours comme ça  ! Et puis il faut apprendre à faire avec, parce qu’à partir de ce moment là,  rien ne sera plus jamais comme avant …

Je les aimais bien moi ces chaussettes là ! Elles étaient ma petite touche d’excentricité à moi …

 

Nouvelle notification :-)

Hier j’ai déménagé à Antibes dans un petit studio. J’avais remarqué trop tard sur le site du propriétaire qu’il n’y avait pas de Wifi inclus dans la location. Étant étranger, les packs de données en roaming coûtent une petite fortune. J’ai acheté un pack dans le but de pouvoir connecter mon PC sur internet par l’intermédiaire du téléphone cellulaire, mais le signal 3G / 4G était instable, voir parfois même carrément inexistant, Alors j’ai acheté une nouvelle carte SIM avec un pack de données : J’ai un nouveau numéro français qui commence par un 06 !

Mais arrivé au studio c’était pareil : Mon accès à l’internet restait très instable et inutilisable. Après une longue et minutieuse enquête, j’ai découvert qu’il fallait déposer mon téléphone portable faisant office de Wifi pour mon PC, sur le mur du balconnet et laisser la fenêtre ouverte ! Ça n’est toujours pas du haut débit mais c’est déjà ça.

Et depuis c’est magique, j’ai une nouvelle icône dans la barre de notification de mon téléphone portable : La coccinelle porteuse de chance et qui exauce les souhaits !

Et c’est juré craché que je n’ai pas dressé la coccinelle ni trafiqué la photo !

Si j’additionne ce porte-chance là à celui de la pièce d’un quart de Dollar que je conserve précieusement dans la poche de mon pantalon depuis plus de six mois, il doit y avoir quelque chose comme du bonheur dans l’air !

Le conflit biochimique

Hier, j’avais l’intention d’écrire un billet basé sur le thème de la dopamine. C’est la molécule biochimique du plaisir ! J’avais une trouvaille importante à vous dévoiler à ce sujet, mais je suis désolé de vous décevoir, j’ai dû reporter ce projet à la suite d’un problème technique. Je crains d’ailleurs que vous allez vous aussi devoir suspendre votre production de dopamine le temps de lire ceci.

Il arrive parfois que la molécule biochimique de l’emmerdement, la samemine, ennemie jurée de la dopamine, se permette de venir perturber la félicité de mon équilibre chimique en la provoquant en duel.

Lorsque l’emmerdement se confirme, il peut arriver que ce soit la fulmine, la molécule biochimique de l’exaspération qui prenne le relais. Et lorsque les effets indésirables de la fulmine s’estompent, c’est la rumine, la molécule biochimique de l’amertume qui la remplace. C’est également parfois une trop longue période de production de rumine qui peut s’avérer annonciatrice et génératrice de fulmine.

Des années durant, j’ai dû faire face à une production régulière de samemine, déclenchée parfois par de simples petits tracas de la vie quotidienne, pouvant conduire à une surproduction trop expéditive de rumine ou de fulmine

Comme il est impossible d’enrayer définitivement le cycle des embêtements de la vie, j’ai dû agir en procédant à quelques réglages, sur l’influence de ces neurotransmetteurs. J’ai naturellement augmenté ma production quotidienne de dopamine, ennemie jurée de la samemine dont j’ai de ce fait automatiquement réduit la fabrication.

Hier donc, j’ai une fois de plus pu vérifier l’efficacité de mes nouveaux réglages biochimiques suite à un problème technique : Mon disque dur externe pour toutes mes sauvegardes a cessé de tourner rond ! Je m’évertue des années durant à faire des sauvegardes et voilà soudain, qu’on ne peut plus sauver les sauvegardes !!!

Vous imaginez que ce déboire ne m’a pas du tout fait plaisir (zéro dopamine) mais j’ai rapidement pu stabiliser le temps nécessaire, ma réaction biochimique à un niveau acceptable de samemine en sortant de chez moi pour aller prendre au plus vite un peu de plaisir

 

C'est bien sûr également en rédigeant ce type de délire que je me défoule
et produis en moi des doses salvatrices de dopamine...

Le parcours Picasso

Le Parcours Picasso à Vallauris

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C’est entre 1948 et 1955 que Pablo Picasso a séjourné à Vallauris. C’est ici qu’il a développé une fascination pour les techniques de la céramique et de la linogravure. Il s’est intéressé ici à la création de sculptures. Il a entre autre contribué à faire redémarrer l’industrie locale de la poterie. Il y a au bout de la rue le Musée National Picasso (que je n’ai pas encore visité) et une sculpture en bronze offerte par le maître à la ville. “L’homme au mouton“.

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C’est mai 2018 que j’ai résidé une dizaine de jours dans la rue du parcours Picasso en n’ayant au départ absolument aucune idée où je mettais les pieds. Certes, il ne m’avait pas échappé et j’avais apprécié à sa juste valeur, la présence de plus qu’en moyenne, d’artisans, de sculpteurs, de galeries d’art, d’ateliers de céramique et de poterie. Mais ce n’est que ce matin en modifiant  le parcours de ma promenade que j’ai découvert le pot aux roses !

J’avoue qu’il y a des jours où la composante de “hasards heureux” qui jalonne mon parcours, me fait un peu flipper ! Mais j’apprécie naturellement aussi énormément les bonnes surprises !

Et puis je suis heureux d’avoir retrouvé hier le brouillon d’un drôle de dessin que j’avais réalisé il y a quelques mois. Je le croyais perdu à jamais ou alors resté au fond de l’un des nombreux cartons abandonnés loin d’ici dans la SunCave. Je vais pouvoir le mettre au propre en bénéficiant de la supervision du maître !

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une peinture murale  sur façade

L’intuition des jambes

Si jusqu’ici vous étiez persuadé que les petits délires c’est seulement dans la tête, vous pataugiez dans l’illusion ! Les égarements et l’altération des repères, c’est également dans ses jambes qu’il faut se les inventer ! Pour pleinement percevoir l’envie de batifoler de votre imagination, il faut avec le soutien de vos guibolles aller mettre les pieds là où votre hésitant équilibre tendrait à vous le déconseiller.

Et en cas de gamelle, vous pourrez toujours reprendre vos jambes à votre cou et retourner au plus vite les remettre bien au chaud dans vos bottes confortables et rassurantes.

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Si vous suivez les évolutions de ce blog, vous avez sans doute remarqué, qu’en ce moment mes jambes tendent à me transporter vers le monde du cinéma. (Hollywood, Cannes) J’ai toujours été un grand cinéphile, sans pour autant au départ envisager avec mes gros sabots de m’en approcher  plus près que des reflets d’un écran…

Mais j’avoue que ce détour suprenant et déconcertant stimule parfaitement mon univers imaginaire.

Je me trouve toujours dans la région de Cannes et le festival du cinéma y bat son plein. Je suis venu y participer hors compétition, raison pour laquelle j’ai emporté mes propres palmes… De toute manière je crois qu’elles ne seraient pas très pratiques pour monter élégamment les marches du Palais des Festivals…

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Tourments nocturnes au service-clients

Tourments nocturnes au service-clients

-Bonjour Monsieur, que puis-je faire pour votre service ?

– Bonjour Madame ! Je viens déposer une réclamation : J’ai très mal dormi la nuit dernière !

-Vous m’en voyez terriblement désolée Monsieur. La raison de cet inconfort est-elle due à un problème de literie ? A un dérangement lié à des bruits dans la rue ou dans les couloirs peut-être ?

-Pas du tout, j’avais passé commande d’une nuit complète peuplée de beaux rêves ! Mais au lieu de cela, j’ai fait, non pas un, mais deux cauchemars !!! C’est inadmissible !

-Je vais devoir me renseigner auprès des opérateurs, Monsieur et éclaircir avec eux s’il s’agit d’un problème technique ou autre. Mais je dois vous avouer qu’en ce moment, les beaux rêves sont très demandés et il nous arrive parfois de ne pas pouvoir répondre à 100% à cette forte demande. La capacité de notre structure a atteint ses limites et nous avons entrepris des travaux pour augmenter et moderniser notre offre. Ces mauvais rêves ont-ils détérioré la totalité de votre quota de sommeil pour cette nuit Monsieur ?

-Non, il me semble que ça va mieux déjà : Il ne s’agissait que de petits cauchemars, dont j’oublie  instantanément le contenu et le désagrément qu’il a occasionné, dès que je peux exprimer ma réclamation.

-Dans ce cas vous avez très bien fait de venir me voir ! Je ne sais pas si vous êtes un matinal Monsieur, mais il est encore tôt le matin. Est-ce que la maison peut vous offrir un créneau « grasse matinée illimitée» en guise de dédommagement des contrariétés que vous avez subi ? Notre service « rêves » est plus modérément sollicité à ces heures-ci et je vais envoyer une note de service aux opérateurs de vous inclure en priorité et avec effet immédiat dans le service premium. Nous allons tout mettre en œuvre pour que vous puissiez pleinement vous délecter de ce supplément…

-Ce sera parfait ! Voyez, j’en bâille d’avance ! Merci beaucoup Madame !

Le sculpteur de Vallauris

Je réside dans un petit appartement de vacances à Vallauris dans la région de Cannes, dans une rue où je peux m’émerveiller en allant simplement acheter ma baguette de pain du jour.

Ce matin, j’ai eu le privilège de m’entretenir avec le sculpteur qui travaille devant la vitrine de son atelier, une pièce en marbre de Carrare provenant de la carrière de Michel-Ange ! Je lui ai demandé son autorisation de prendre des clichés en partageant avec lui mon débordant enthousiasme.

Je n’ai pas pu résister à penser, qu’il devait naturellement être impossible à un un sculpteur de pierre de rester de marbre !

Il m’a confié qu’après lui, il n’y aurait pas de relève. Qu’il ne manque pas de travail dans cet art, même en dehors de la restauration de monuments, que les sculpteurs en herbe talentueux ne manquent pas (il donne lui-même des cours) mais que ce sont les soutiens en financement pour suivre ces formations, qui peuvent durer six mois, qui manquent cruellement.

On s’est alors demandé ce qu’ils pouvaient bien faire de leurs deniers, au ministère de la culture !

Et puis il y a les tarifs actuels des modèles vivants qui sont devenus élevés. Au final, seuls les friqués peuvent encore s’offrir une entrée en matière et une perspective de carrière dans ce noble art.

Voilà, j’espère avoir reflété le plus fidèlement possible cette conversation  ! Merci mille fois pour ce témoignage, Monsieur le sculpteur !

http://www.sculpteur-petrus.com

Pour terminer sur une note légère, si vous suivez les évolutions de ce blog, vous vous rappelez peut-être que mon projet fou de “triptyque autoportrait” n’en était resté qu’à la première des trois parties qui le composeront un jour : Mon pied droit !

Mon buste en marbre étant malheureusement un chouilla au-dessus de mes moyens financiers et très au delà de mon talent dans le maniement du marteau et du burin, je vais une fois de plus devoir réviser mes plans. En revanche, excellente nouvelle pour moi, ce matin en sortant de la douche, l’empreinte mouillée de mon pied gauche s’est imprimée avec une netteté surprenante sur la surface satinée du petit tapis de la salle de bain ! Et j’ai pu constater que mon pied gauche est aussi sexy que mon pied droit ! Il ne fera pas partie du triptyque. Mais, à moins bien sûr que le ministère de la culture insiste vraiment, je vais vous faire grâce ici de la photo de la demi-démarche artistique que m’a inspirée cette empreinte éphémère…

 

Kristen Stewart à Cannes

 

Je doute fort que cette photo que j’ai prise le jour de la cérémonie d’ouverture à Cannes fera le tour de la planète et mette en valeur comme elle le mérite, la sublimissime et talentueuse artiste qu’est Kristen Stewart. Elle fait partie du jury du festival cette année.

Si je me suis rendu pour la première fois sur la Croisette durant le festival, c’était bien dans l’intention de la voir mettre le feu au tapis rouge et ce n’est certainement pas moi qui allait me jeter sur un extincteur et ce, même si devais piquer feu à mon tour…

N’étant pas un habitué de ce genre de manifestation ni très au fait de ce qu’il fallait entreprendre pour atteindre mon but, j’ai suivi le mouvement des autres festivaliers et leur ai soutiré les informations nécessaires à l’aide de quelques billets. Je suis allé faire le pied de grue en bas d’un grand hôtel en compagnie d’autres badauds en n’étant pas du tout certain que c’était bien celui dans lequel on lui avait retenu sa suite royale. Je suis reparti pour aller lire sur les lèvres du jury, la conférence de presse sur un grand écran providentiel qui ne diffusait pas le son. Puis je suis allé faire la queue des heures durant dans l’espoir d’accéder au plus près du célèbre grand escalier. Une mamie initiée avec qui on a sympathisé m’a dit que j’avais intégré la file d’attente une heure trop tard. Ceci explique sans doute la présence de ce tronc d’arbre sur ma photo. La mamie avait apporté son perchoir : Une chaise de jardin en plastique et deux cadenas pour la fixer pour la quinzaine à la barrière de sécurité. Lorsque le bal des limousines commence et que les célébrités arrivent devant les marches, c’est vraiment la foire d’empoigne pour voir ce qu’il se passe. Et bien entendu, il faut toujours qu’il y ait au premier rang, le vice champion du monde des emmerdeurs qui croit prendre des photos panoramiques avec sa tablette de 58 pouces !

La photo ci-dessus, que j’ai prise de l’endroit ou je me trouvais est quasi miraculeuse dans les conditions dantesque dans lesquelles je me trouvais alors : Je suis fier d’avoir atteint mon objectif et ne demanderai pas un radis en droits de diffusion, si elle devait malgré tout faire le tour du monde.

Maintenant que j’ai dans la vie réelle et de mes propres yeux pu voir la légende Kristen Stewart en live sans m’évanouir comme une midinette, tout est possible ! Kristen, si tu disposes entre deux projections d’une heure ou deux de libre, j’annule immédiatement tous mes autres rendez-vous !

Flashback :

Pendant que je patientais dans la file d’attente, une jeune femme qui filmait avec son smartphone au bout d’une perche s’est approchée de moi et m’a interviewé. Elle voulait savoir ce que je faisais là et qui j’avais l’espoir de voir fouler la moquette en me proposant quelques noms… Lorsque je lui ai confié que j’étais là pour voir la fabuleuse ♥ Kristen Stewart ♥, ça l’a intriguée et elle m’a demandé pourquoi…

Si je déniche son film sur le site internet pour lequel elle travaille, je collerai le lien ici. Mais il est hautement probable que je n’ai pas remporté la palme d’or de l’interviewé et que j’ai été zappé au montage ou en post-production…

 

L’importance des répliques

L’importance des répliques

 

Si tu as déjà eu la chance, ne serait-ce qu’une seule fois dans ta vie, de t’enflammer d’amour à l’occasion d’une rencontre foudroyante, et qu’une fois tes esprits à nouveau à peu près rassemblés, tu as su rétablir le courant à temps pour capturer la personne qui t’as mis les sentiments en carafe, alors tu peux te considérer faisant partie des victimes de l’un des phénomènes le plus formidable qui soit !

Mais il est possible qu’un jour, tu te rappelleras très bien de l’instant où tu avais pris dans la gueule ce troupeau de bisons des plaines en pleine course, mais il ne restera plus de toi dans un nuage de poussière, que l’éclopé aplati dans la boue de la steppe. Et c’est là que tu te mettras à divaguer pour rallumer la chandelle, qu’il existe forcément quelque part en vente libre de la molécule de coup de foudre synthétique en comprimé.

Puis lorsque la pluie étouffera le feu de tes ultimes espoirs, tu te rassureras que tant qu’il y aura encore du jus en toi et des ruminants fonceurs dans la prairie, tu te relèveras et miseras tout sur l’éventualité d’un éclair plus étincelant et plus foudroyant encore ! Tu guetteras la seconde imminente où ce rayon d’énergie t’explosera ton paratonnerre sous-dimensionné.

Si tu as déjà eu la chance, ne serait-ce qu’une seule fois dans ta vie, de t’enflammer d’amour mais que ça n’a duré qu’un temps, il se pourrait alors que tu n’acceptes plus à l’avenir l’idée que ce trouble magnifique puisse un jour s’évanouir !

Et tu attendras dès lors d’une rencontre foudroyante, qu’elle te frappe d’un premier éclair de la plus forte des intensités et soit suivie d’un nombre infini de répliques

 

Un texte qui s'inspire très largement de ma réalité actuelle. 
Et les répliques auxquelles je fais référence ici sont bel et bien
au rendez-vous. Elles sont extrêmement intenses et nombreuses.  
Elles ont pulvérisé mon paratonnerre ...  


 

Angoisse à l’auberge

Un souvenir de mon récent voyage en Californie. L’hôtelier qui m’a accueilli à la réception de l’établissement où j’avais réservé en ligne était très sympathique. Il avait l’air farceur et se montrait très enclin à vouloir échanger un brin de conversation avec moi …

Il m’a tendu cette pochette contenant les clés magnétiques d’accès à ma chambre et les codes d’accès du Wifi.

Lorsque j’ai découvert le nom du réseau Wifi sur l’étiquette, j’ai beaucoup ri ! Mais j’ai quand même eu un peu les chocottes au moment de prendre ma douche …

Vibrations de l’invraisemblable idylle

Vibrations de l’invraisemblable idylle

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Est-ce que tu perçois la flamme d’une inhabituelle présence ?

Est-ce que tu détectes ma tendresse étourdissante et intense ?

Est-ce que tu vacilles entre euphorie et opposition hésitante ?

Est-ce que tu te retranches derrière des défenses rassurantes ?

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Est-ce que ce que je perçois, c’est bien le feu qui brûle en toi ?

Est-ce que ce que je détecte, c’est bien l’ardeur de tes sentiments pour moi ?

Est-ce que ce qui me fait vaciller, c’est bien ce doute qui émane de toi ?

Est-ce que ce qui me retient, c’est bien ce fossé qui te sépare de moi  ?

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Miroir sonore

Aujourd’hui je vous propose le récit d’une expérience inédite pour moi. Ça se passe à peu près là ou la photo ci-dessus a été prise. (Corniche d’Estérel) Il y avait un oiseau qui poussait la chansonnette pas très loin. Je l’ai enregistré avec mon smartphone. Ensuite j’ai joué le son pour écouter si le résultat était audible. C’est alors que l’oiseau s’est approché et s’est  posé sur une branche bien en vue tout près de moi. Il avait probablement été charmé et attiré par l’enregistrement de son propre récital. Alors j’ai fait un deuxième enregistrement, celui que vous pouvez écouter ci-dessous.

Mets ton casque audio et pousse le volume à fond :

 

A un moment, j’ai fait un mouvement un peu maladroit, l’oiseau a tout compris de la supercherie et s’est envolé. Et je suis parti à mon tour, le cœur léger en sifflotant …