Category Archives: Dévergondages

Punk un jour, punk toujours !

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Un shampoing avec massage du cuir à l’huile de figues de Barbarie

+ Une double coloration blond vénitien et blond californien

+ Un redressage de mèches rebelles à l’eau de source et au sucre blanc

+ Une ré-harmonisation rigoureuse des espaces et des longueurs

+ Un séchage fixant en douceur au casque à ondes infra-rouge

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= Et voilà une visite au salon qui va encore me coûter un bras !

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Le plus beau cadeau du siècle ?

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C’est en parcourant un réseau social que je suis tombé sur un post illustré par les photos ci-dessus. Elles sont extraites de la série TV Breaking Bad. Le contributeur du post et certains commentateurs s’y moquaient volontiers “du cadeau discutable” offert par ses parents à Junior, fils de Monsieur et Madame White, souffrant d’un handicap, qui sur cette photo n’a pas l’air franchement emballé au moment de la transmission des clefs : Youpie ! Une Chrysler PT Cruiser !

C’est à la vue de cette photo que je réalise enfin que bien après la diffusion de cette série, avec la complicité du hasard, je m’étais offert un véhicule identique ! Du même bleu métallisé. Avant cela, je conduisais le modèle précédant de couleur “prune foncé” (dark plum pearlcoat), qui m’avait déjà valu quelques railleries croustillantes.

Très appréciée par certains, dont je faisais partie, et cordialement détestée par d’autres, en partie à cause de son esthétique neo-retro audacieuse, elle ne laissait personne indifférent. Côté pratique aussi, elle me convenait à merveille, surtout de par la possibilité d’en extraire les sièges arrière pour la transformer rapidement en utilitaire volumineux ou en “chambre d’hôtel low cost”.

Adolescent, je m’adonnais volontiers au dessin créatif de véhicules en tout genre, afin d’aiguiser mon coup de crayon et de travailler mes mises en perspective. A l’époque, j’aurais aimé qu’un jour je parvienne à créer de telles qualités de design ! Mais je n’ai jamais approché le niveau de compétences ni même n’en ai développé les talents nécessaires. (Ci-dessous, un dessin original, signé du créateur du PT)

Lorsque le temps était venu de remplacer mon Cruiser fatigué, je me suis rendu à l’autre bout du pays pour en acquérir un autre. Il s’agissait cette fois, d’un modèle datant d’après la mise à jour.

Autre coïncidence troublante d’avec les photos de la série TV, c’est que j’avais racheté le PT bleu à une jeune femme contrainte de s’en séparer à contre-cœur, suite à une aggravation de son handicap. Elle avait du se résoudre à en changer pour un autre véhicule plus à même d’embarquer un ingénieux mécanisme de déploiement de son fauteuil-roulant.

Et puis un beau jour à Los Angeles, au début d’un voyage touristique en Californie, le premier véhicule qui m’était proposé sur internet à la location pour mon road-trip a été : un PT Cruiser !!! Mais cette fois j’ai dit non merci ! Faut pas exagérer : Surtout que j’en ai déjà un qui m’attend à la maison…

Pour remonter le temps, cliquez ci-dessous :

Voilà, ça m’a fait plaisir d’aller revisiter quelques autres petits recoins de ma mémoire.

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Le coupé grenouille

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Voici le récit d’un épisode de ma jeunesse tombé dans l’oubli jusqu’à ce que je remarque sur internet, une photo de ce véhicule des années 70. Ci-dessus, une photo d’illustration que j’ai ensuite dénichée et dont la teinte me paraissait être la plus fidèle à l’original dont il est question ici.

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Il n’aimait pas du tout sa couleur et pourtant il l’avait achetée quand même ! Ce modèle était déjà devenu une rareté sur nos routes y compris dans ses déclinaisons les plus sobres d’aspect. Lors de ma première rencontre les yeux dans les phares avec son acquisition, je n’avais pas été en mesure d’éviter de lui confirmer qu’en effet, elle possédait toutes les caractéristiques du bolide de rêve de Kermit la grenouille. – Et bien plus tard, elle aurait également pu fasciner Shrek

Que de mon point de vue, côté “aimant à gonzesses” qui viserait l’unanimité, on avait déjà croisé plus convaincant. Exception faite de toutes les “candidates au siège passager à attirer” qui tomberaient d’abord raides-dingues de son conducteur ainsi que celles qui seraient des mordues d’émeraudes.

Je venais probablement d’être son douzième pote consécutif a échouer lamentablement dans le périlleux exercice de la flatterie amicale mensongère !

Raison pour laquelle il se montrait d’autant plus déterminé à investir jusqu’au dernier bouton de sa chemise du dimanche dans une nouvelle robe d’apparat ! Aussi résolument qu’il était décidé à booster l’allure sportive de son futur irrésistible carrosse.

Je n’étais alors encore qu’un galopin en développement, loin d’être titulaire d’un permis de conduire et d’être le détenteur d’un véhicule motorisé à quatre roues. C’est pourtant comme s’il m’avait perçu comme le futur Van Gogh de la peinture complète, qu’il m’avait interrogé quant aux nouvelles couleurs que j’appliquerais à son vaisseau spécial.

C’est spontanément et sans m’accorder le temps de réfléchir que je lui avais soufflé que d’un point de vue purement sportif, il pouvait s’inspirer de celles de la monoplace de F1 d’Ayrton Senna… Il s’agissait d’un célèbre motif bicolore rouge et blanc, aisément identifiable et qui, d’un point de vue pratique, me paraissait facilement reproduisible sur n’importe quel type de surface…

Durant cette série d’échanges théoriques, je ne m’attendais pas à ce qu’il donne son feu vert à ma suggestion de transformation…

Dès le début et au fur et à mesure des travaux pratiques en carrosserie, un doute s’est installé en moi et je pouvais aisément mesurer la somme croissante de mes sentiments de culpabilité d’avoir encore raté une occasion de me taire. Sans compter que j’avais involontairement contribué à saboter l’éventuel glorieux destin de voiture de collection – dans son état d’origine – de cette automobile mal aimée…

L’enregistrement dans ma mémoire profonde de cette surprenante et intéressante expérience s’est interrompu au moment même ou la peinture avait séché, qu’il ne nous restait plus qu’à retirer les papiers de masquage afin de contempler le résultat final. Un faible indice m’indique encore vaguement qu’en fin de compte, c’était pas si mal ! Mais dans ma subite amnésie, je n’en ai pas conservé la moindre image en tête pouvant encore me le confirmer aujourd’hui.

Je suppose que la nouvelle variante du coupé tape à l’œil a du faire un tabac.

Mais au fond, pour moi, ça restera toujours le bolide de grenouille déguisé en paquet de clopes…

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En ce moment je peine à rire du présent, c’est pourquoi je pioche un peu dans le passé quitte à transgresser certaines limites de ma charte

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Une soirée féerique

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– Salut beau gosse ! Que me vaut l’honneur de ta visite ce soir ?

– Bonsoir fascinante charmeuse ! C’est sur une affiche, que ton éclatant sourire à provoqué une sorte de distorsion temporelle. J’y ai clairement vu une incitation à venir à ta rencontre …

– Oh tu m’en vois très touchée et ravie. Et alors, quel est le numéro qui te ferait plaisir ?

– J’aimerais que tu fasses encore tourbillonner mes sens et virevolter mes émotions avant d’arrêter le temps… Un peu comme sur ton affiche…

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Buongiorno signore ! Je viens pour passer un test…

Au fil des années, j’ai malheureusement développé des allergies alimentaires.

Quelques effets secondaires inconfortables comme des inflammations de la gorge qui évoluent en toux puis en rhume ou des éruptions cutanées, m’ont contraint à cesser de consommer certains de mes plats favoris.

L’un des exemples les plus marquants étant mon intolérance à la crème (de vache) et aux lard (de cochon) qui m’a contraint à me priver durablement de spaghettis alla carbonara !

En tant qu’allergique sceptique, ma philosophie est que toutes ces réponses immunitaires défavorables ne se sont pas incrustées ad vitam æternam

Ne risquant pas de choc anaphylactique, il ne s’agit pour moi que de bogues” qui pourraient être corrigés à la prochaine mise à jour. Des chances de rémission plus que probables à revérifier régulièrement, en me laissant retenter par “le menu interdit ” en ré-acceptant l’ensemble des risques encourus.

D’ailleurs les résultats des mes récents réexamens ne sont pas totalement négatifs ! Pour ce qui est de la crème et des lardons dans les carbonaras, ce n’est pas encore gagné ! Par contre et j’en suis ravi, on dirait que mon allergie à l’ananas semble être passée à la trappe ! Au point que je sois partant pour confirmer cette bonne nouvelle en allant dévorer une bonne “pizzouille” Hawaii à la pizzeria du coin …

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Rencontres fortuites [2]

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Une “franchise” qui pourrait booster les préventes de cet article “indispensable” et “auréolé” …

Les 3 lois de la robotique (Asimov/Campbell 1942)

  1. Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger ;
  2. Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres entrent en contradiction avec la première loi ;
  3. Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’entre pas en contradiction avec la première ou la deuxième loi.

Voir + en détail ( ajout de la loi zéro etc ) >> https://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_lois_de_la_robotique

Ok et à partir de quel moment, les robots deviennent ils franchement envahissants pour le plus grand nombre humain ?

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