Croyez le, si vous le voulez, mais il est chose rarissime de voir un fakir avec un reste de laitue entre les dents après les repas …
Selon la légende, c’est de la scène ci-dessus que proviendrait l’expression “le clou du spectacle”
Croyez le, si vous le voulez, mais il est chose rarissime de voir un fakir avec un reste de laitue entre les dents après les repas …
Selon la légende, c’est de la scène ci-dessus que proviendrait l’expression “le clou du spectacle”
Dessin très librement inspiré d’une photographie d’une légende du rock sur scène, Philip Lynott, chanteur et bassiste du groupe rock britannique Thin Lizzy. Il nous a malheureusement quitté en 1986.
Pour les fans purs et durs, désolé pour le manque de ressemblance de mon modeste griffonage avec son illustre modèle, j’ai ici en priorité cherché à styliser le look et l’attitude uniques de ce grand Monsieur qui a enthousiasmé ma jeunesse.
L’autre jour, dans la presse, purée ! Ils nous ont balancé, comme ça froidement, qu’en Suisse, on serait bien neuf sur une bonne dizaine, à être totalement nuls en matière de réanimation !
Ce sont les meilleurs chercheurs qui auraient étudié cette incapacité sur un échantillon représentatif et anonyme de la population. Ils ont enquêté durant une bonne décennie, et une fois arrivés à une évidence synthétique alarmante de leurs résultats, ils ont publié ce constat inquiétant dans un magazine spécialisé !
Oyez, oyez, ratapataplan, chers cons citoyens, nous ne sommes presque tous que des gros nullards au bouche-à-bouche, bouche-à-nez, bouche-à-oreille, bouche à tout ce que vous voudrez… On n’est pas cap de faire redémarrer un petit coeur qui succombe à une légère faiblesse passagère, on est inapte à regonfler d’oxygène pur une belle paire de poumons en panne ! Et comme pour la plupart, on n’est pas tous des toubibs, des sauveteurs, des samaritains, soudain à un mauvais quart d’heure donné, on risque bien de compter parmi ces neuf incompétents !
Bon alors amusez-vous bien et profitez un maximum de cette life pendant que vous n’êtes encore qu’animés ! Et puis faites en sorte d’être toujours très bien entourés, c’est plus sûr ! Vous devez bien avoir une bonne dizaine d’amis sur qui vous pouvez compter ?
J’aime !
J’aime ça !
Je t’aime !
Je t’aime toujours !
Je t’aime encore !
J’aime ce que tu es !
Je t’aime telle que tu es !
J’aime bien !
Je t’aime bien
J’aimerais bien !
J’aime beaucoup !
Je t’aime beaucoup !
J’aime énormément !
Je t’aime énormément !
Je t’aime à la folie !
Si tu savais comme je t’aime !
Je t’aime très fort !
Je veux t’aimer jusqu’à la fin des temps !
J’ai aimé ça !
J’adooooore !
Je t’adoooore !
Je n’aime que toi !
Je n’ai jamais aimé que toi !
Tu sais que je t’aime toi ?
Je t’aime comme au premier jour !
J’aime pas !
Je déteste !
Je n’aime plus !
Je ne t’aime plus !
Je ne t’ai jamais aimé !
Je n’aimerai pas, n’insiste pas !
Je ne m’aime pas !
Alors je n’aimerais plus jamais !
Et s’il restait une infime chance de pouvoir aimer ?
Je vous aime tous, à ma façon, et d’une manière différente,
Mais je t’aime toi, en particulier !
Il pourrait se vanter d’être doté d’une ouïe plutôt fine,
Il serait pourvu d’une vision haute résolution,
Il serait muni d’un odorat hors pair,
On l’aurait suspecté de disposer d’un goût assez fin et subtil !
Son sens du toucher serait décuplé !
Un sixième sens ne lui ferait point défaut !
Mais en plus de cela, c’est extraordinaire, il est super-sympa !
Et chose rare, il ne porte ni masque ni costume…
Car personne ne le fait chier et il souhaite n’emmerder personne !
C’est au XVème siècle que le français a emprunté “bâbord” et “tribord” au néerlandais qui disait “bakboord” pour désigner le côté gauche d’un bateau qui est maintenant bâbord en regardant de l’arrière vers l’avant et “stierboord” le côté droit pour indiquer le tribord.
Un moyen (parmi d’autres) pour se souvenir de ce qui de bâbord et de tribord correspond au côté droit ou au côté gauche :
La seconde lettre de chacun correspond à la seconde lettre de l’autre.
Exemples : tRibord = dRoite ; bAbord = gAuche.
Sur un navire naviguant de nuit, le feu de côté rouge indique le côté bâbord et donne une idée du sens de marche ainsi que la direction du navire. Tribord est indiqué par un feu de côté vert.
Sur la photographie ci-dessus, malgré quelques embruns et un peu de brume, avec un peu de concentration, en passant entre les gouttes, on peut apercevoir ce genre de feux, rouge et vert.