C’est un peu l’équivalent du syndrome de la page blanche : le blocage que peuvent connaître des écrivains ou d’autres artistes, pour débuter ou poursuivre leur œuvre.
J’ai adapté ce concept à notre inquiétante incapacité en tant qu’espèce et sociétés, à faire face avec efficacité aux défis écologiques et climatiques auquel nous devons faire face.
Pour l’heure, ce n’est encore qu’une vignette de petit format et je n’ai pour le moment rien trouvé d’autre à glisser dessus que ce grand point d’interrogation et cette ligne rouge à ne pas dépasser.
Si j’exclus le greenwashing et d’autres formes d’hypocrisies verdâtres, je vois bien dans les divers médias, qu’il existe déjà ici et là de bonnes intentions et d’excellentes idées pour trouver plus d’inspiration et écrire l’histoire…
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