Aujourd’hui, je prends un énorme risque artistique en caricaturant une légende du cinéma !
Car il se peut que vous ne trouviez pas cette petite bande dessinée ridicule et minimaliste aussi « lolesque » que moi, surtout si vous comptez parmi les fans hardcore de Sylvester Stallone que vous surkiffez pour l’ensemble de son œuvre !
Il n’est pas inconcevable alors que vous ne hurlassiez au crime de lèse-comédien et envisagiez de venir me coller un cinglant uppercut à même la binette, geste directement inspiré d’une scène culte d’un combat à mains pas nues incarnée à l’époque, par la star égratignée dans cette bédé.
Si vous comptez parmi les hauts représentants des instances pointilleuses de l’exactitude orthographique dans la rédaction de la langue de Shakespeare et ne me pardonnez pas l’outrage d’avoir mis dans le titre un « L » de trop à « alone », même si je sollicite un chouilla de clémence pour cette facétie infantile et nourris l’espoir que personne n’ira jusqu’à bouter le feu à mon blog pour me faire payer cette faute.
Si vous êtes membre des inflexibles de l’immersion dans toute œuvre dans sa version originale, vous ne tolérerez probablement pas que ce comic strip soit ici présenté dans sa version française sans sous-titres. Même si pour tempérer d’un cran la virulence des réactions, je révèle que pour le doublage en VO, il suffira de remplacer « KROUIIK !» par « SCHLING ! ou SHAZAM ! » et « Adrienne ? » par « Adrian ? »