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Avec un peu de chance
Et une bonne dose d’imagination
C’est tout un monde en suspension
Qui pourra continuer à tourner
Sans ralentir, sans basculer
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Avec un peu de chance
Et une bonne dose d’imagination
C’est tout un monde en suspension
Qui pourra continuer à tourner
Sans ralentir, sans basculer
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Réalisé à partir d’un dessin vectoriel de cet appareil expérimental qui sort de l’ordinaire, le Stipa-Caprioni de 1932 > Lien Wikipedia
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A ce jour, je n’ai toujours pas fait de nu académique.
Mais il se pourrait que je m’y colle un de ces jours, qui sait.
En attendant, voici mon tout premier nu comique…
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– Tadaaan ! Qu’en dis-tu mon brave ? Clonage et transplantation réussis, non ? Toute la fringance du jouvenceau supervisée par la virtuosité d’un cerveau de boomer ! Vitalité, vigueur, zéro bobos + expérience, sagesse et neuroplasticité… Haaa ! Je me sens au top là !
– Vous m’inquiétez Docteur… Avez-vous suffisamment bien évalué les risques de rejet du greffon par le sujet ? (en l’occurrence le nouveau vous). Il me paraît quand même passablement agité ce clone …
– Mé-ouééé, y a pas de lézard ! Les paramètres du donneur (en l’occurrence l’ancien moi) indiquaient une limite supérieure de ressentis en âge de vingt-cinq ans… Il y avait compatibilité totale ! Bon allez, maintenant essaie de positiver mon brave ! Et ce soir c’est moi qui régale : Nous sommes de sortie et je sens qu’on est bien partis pour fêter ça jusqu’au petit matin !
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Un ancien croquis récupéré dans ma boîte à idées. Je trouvais qu’il ne cassait pas des briques. Mais qu’il allait sans doute un jour en ressurgir, bien décidé à revenir me casser les bonbons…
Et c’était l’occasion d’un bon petit délire finalement, même s’il ne casse toujours pas la moindre brique.
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Je ne sais pas vraiment pourquoi
Mais je n’aime pas les répétitions à gogo
Et n’apprécie guère les routines du quotidien
Je suis réfractaire aux habitudes qui s’installent
Intolérant aux petites manies et aux vieilles rengaines
J’évite de me laisser aspirer dans une boucle sans fin
M’évade volontiers hors de ma zone de confort
Pour visiter ma curiosité et tous ses espaces à défricher …
Mais je suis sûr que toi, je t’aimerai toujours aussi fort !
Que c’est une constante valable jusqu’à mon dernier jour
Qu’une telle passion mérite des concessions
Ainsi qu’une fidélité à toute épreuve.
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Un jour ou l’autre ce genre de motif redeviendra à la mode !
Et on appellera peut-être ce style du néo-vintage.
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Ses amis félins trouvent facilement leur confort et leur bonheur en s’installant dans n’importe quelle boîte en carton. Alors pourquoi pas lui ?
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C’est au cours d’un voyage métaphysique et symbolique que j’ai griffonné ce croquis portant sur notre effarante aptitude à être spectateurs de multiples désastres et atrocités en grignotant notre portion géante de popcorn. Et qu’ensuite, nous parvenions rapidement à retrouver notre sérénité en nous reposant dans le premier abri disponible …
Et moi, c’est en esquissant ce personnage bienheureux assoupi dans sa boîte de snacks, que j’ai neutralisé un coup de cafard consécutif au paquet d’horreurs auxquelles je venais d’assister à l’écran. Une méthode efficace en peu de temps : Bon allez, je me charge de me concocter un happy end et à demain, pour d’autres monstruosités !
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Parce que les micro-siestes, c’est pour les stressés et les stressants …
( Source du clipart : Internet )
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Ne ratez plus jamais d’éclipses ! Et ce même si les astres ne sont pas (ou ne sont plus) parfaitement alignés.
[ S’il y a des investisseurs prêts à miser le pactole sur ce projet, on passe immédiatement à la réalisation du premier proto ]
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Ce chercheur scientifique et son assistant-cobaye font ici partie de mes principales inspirations.
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Dans notre laboratoire secret, je suis une incarnation des deux personnages dans un seul et même corps : Je suis un savant souffre-douleur hybride et autodidacte : Le Docteur Maboul et Mister Patient Zéro.
Notez que cette approche composite ne comporte pas que des désavantages !
Mes prédispositions étiques m’interdisent, même au nom de la science, de “martyriser” un autre bras droit que le mien et mon laborantin se porte toujours volontaire pour épargner tout organisme biologique concurrent, comme par exemple des souris blanches.
Depuis des lustres, notre tandem travaille d’arrache-pied pour survivre en un seul morceau dans ce coupe-gorge qui nous sert de jungle des temps modernes. Nous n’auront jamais de prix Nobel parce que nous, les mondanités, on s’en tamponne l’incubateur. (Surtout lui)
En ce moment, nous travaillons sur un principe actif de lifting du cerveau. Le but final étant de l’alléger de toutes ces fonctions obsolètes, héritées de l’époque des chasseurs-cueilleurs…
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Vivement lundi !
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J’ai pris la liberté de délirer un peu à partir de l’une des affiches originales de ce génial et merveilleux film qui m’avait laissé sous le choc au moment de sa sortie en salle. Sa découverte m’avait profondément envoûté et m’avait ensuite conduit à écrire des histoires…
Je me considérais déjà comme “celui qui a vu trop de films” avant cet épisode là !
C’est bien plus tard en parcourant un réseau social, que j’avais appris l’existence d’un syndrome associé à ce film et que je n’étais pas le seul cinéphile à avoir été ensorcelé.
Lien vers la description du syndrome de Truman Show
Dans mon cas, il s’agissait d’une variante personnalisée du syndrome : La projection m’avait laissé la forte impression que c’était moi qui en avait écrit le scénario ! Ce qui était clairement impossible et surtout, prétentieux. C’est immédiatement et à chaud que j’avais confié l’étrangeté de ce sentiment à celle qui m’accompagnait : Elle m’avait alors dévisagé en silence comme si je venais de débarquer de ma soucoupe volante…
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Une réalisation basée sur quelques éléments vectoriels dénichés sur internet. En particulier l’origine de l’expression accueillante de ce colocataire.
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