Un exercice de carte de menu en PAO qui s’est finalement révélé assez épuisant à réaliser ! C’est qu’il a fallu faire quantité de recherches sérieuses pour ne pas manquer à tous mes devoirs de vous mettre l’eau à la bouche !
Je n’avais au départ pas d’objectifs précis à atteindre et c’est une fois de plus parti complétement en vrille ! Et ceci, sans sabre de Damoclès en suspension dans les alentours !
Je suppose qu’on doit pouvoir trouver ou faire mieux et pire. Il me semble déjà que ça manque un peu de souffre dans les mets, mais, je ne vais pas continuer d’en faire tout un plat. Et ma foi désolé, chers lecteurs, vous qui êtes de la profession, s’il devait y avoir pour vous quelques incohérences gastronomiques dans cette liste d’alléchantes recettes aujourd’hui …
Allez , bon appétit à tous et après, du balai ! (iiihihiahahaaaa – wooosh ! )
Ce soir, j’ai décidé de me faire plaisir parce que j’ai une très bonne raison pour ça !
C’est la photo “avant” mais ne comptez pas sur moi pour la photo “après” ! Parce que je ne me sens pas l’âme d’un influenceur à casseroles et parce que je salive déjà…
Bon allez hop, je passe en cuisine, je me régale et puis après, bonne nuit tout le monde !
Par les terribles temps qui courent, j’aurais moi aussi tendance à n’être qu’un simple observateur de la connerie humaine à l’œuvre, au lieu de lever le moindre petit doigt pour être l’un de ses nombreux créatifs moi aussi…
Mais entre deux pertes d’espoirs existentiels et deux angoisses indéterminées, je me suis dit que ça ne devait pas pour autant complétement m’empêcher de continuer de meubler quelque peu cet espace…
Alors voici en exclusivité, pour vous, la table basse Vladolf : Du mobilier de style simpliste à monter soi-même, comme d’habitude… Parce que la vie en kit, c’est bien mieux que du tout cuit et précuit livré sous cellophane dans une barquette en plastoche.
Cette pièce en bois aggloméré contreplaqué est disponible chez votre fournisseur habituel : Donc à peu près partout dans ce monde qui, on est bien d’accord, est encore bien plus dingo, que nous n’avions osé l’imaginer jusqu’à présent.
Rassurez-vous, la procédure d’assemblage n’est pas une mer à boire : Aucune cheville ni aucune chenille n’iront se paumer sur le terrain !
Cette table basse simplissime peut s’échafauder sans complications dans n’importe quel bourbier de la planète et en outre, elle est bien assez grande pour inviter jusqu’à deux apôtres à sa table ! Par exemple en organisant un petit “espresso event” pour palabrer en catimini sur des sujets délicats comme celui du moral de ses troupes et aussi pour faire le point sur d’éventuels imprévus logistiques : Des thématiques parfois susceptibles de soulever moult agacements dans le feu de l’action, comme par exemple encore : lorsqu’on est pas trop manuel ni rompu à la lecture de plans.
Sachez que si vous ne possédez pas cette table dans vos boudoirs et petits salons guindés dans des délais peu raisonnables, vous pourriez fort bien passer à côté de votre éligibilité, d’un jour devenir l’un maîtres du monde ayant laissé son empreinte dans votre époque, avec en corolaire ce pénible revers que serait l’absence d’une quelconque mention honorable ou durable de votre passage dans des livres d’histoire !
>.<
Ah ben ça défoule toujours autant, mais...
Est ce que ça, ça suffira à me réamorcer ?
C'est pas sûr
Mais ça m'aidera à glisser vers autre chose
Et ça, c'est déjà sûr et certain...
Il y a des matins, où le vrai dilemme n’est pas juste de voir le verre à moitié plein, le verre à moitié vide ni même le verre jamais assez plein !
Il en est aussi, où il n’y a rien d’autre à voir, que l’incompatibilité ergonomique flagrante d’une tasse classique de jus de chaussettes désaltérant !
Heureusement, les laboratoires SunOf ont planché jusqu’aux toutes dernières lueurs de l’an de grâce 2021, sur une bonne résolution susceptible de solutionner ce problème : La tasse spéciale permettant de boire un breuvage sans avoir à lever le coude chargé avant tout de servir d’élément de soutien pour la tête ! (voir croquisdescriptifci-dessus)
C’est là sans doute la solution idéale pour les lendemains de fête, les cas d’accumulation de fatigue, les pertes de motivation chroniques, les gueules de bois sévères au réveil, etc…
C’est donc avec une certaine satisfaction d’avoir modestement contribué à faire avancer la science en 2021, que notre équipe de chercheurs vous souhaite une très bonne année 2022, à partir de demain aux aurores !
Un article encore en cours de réflexion et de finalisation.
Il s'agira probablement d'une progression laborieuse...
J'écrivais un article plus léger que
celui-ci quand j'ai subitement été saisi d'une crise
d'anxiété écologique... Une préoccupation qui généralement
ne me réussit pas et que j'ai encore beaucoup de mal
à gérer.
Mais cette fois-ci, pas de déni, ni d'échappatoire :
je m'y attaque frontalement jusqu'à ce que je
m'auto-apaise. Et que le malaise soit digéré..
...
Et voilà, la crise est passée ! (seulement la mienne)
Je vais tout de même essayer de terminer cet article.
Mais petit à petit, il n'y a pas urgence...
...
Alors comme ça sur notre bonne vieille Terre, nous sommes parfaitement capables de créer de véritables bulles de simulation de vie humaine sur la lune et sur mars ! Et on trouve à la pelle des volontaires qui ne sont pas nés de la dernière pluie pour aller s’y isoler durant des mois en apportant leur contribution aux avancées de la science…
Par contre, nous ne nous bousculons pas pour lancer un projet comparable qui modéliserait/simulerait le plus fidèlement possible la vie sur Terre dans 30,40 ans et plus ? Nous aurions l’opportunité d’y envoyer en stage d’immersion ou de survie, les spécimens les plus hypocrites, sceptiques et psycho-rigides d’entre nous, pour expérimenter en “conditions réelles” ce qui concerne le futur de l’humanité et des autres formes de vie ? De pouvoir en quelque sorte aller faire de la plongée sur la planète de nos descendants de manière interactive et non pas seulement encadré en simple spectateur. D’aller s’imprégner des conséquences à long terme de nos agissements. De nous laisser marquer au fer rouge par l’ampleur de dégâts constatés ou au contraire de nous féliciter de l’efficacité d’une série d’efforts consentis à temps. Et peut-être en revenir convaincu voire transformé.
Ce serait sûrement un véritable crève-cœur pour les scientifiques et les laborantins sur place de devoir maltraiter le magnifique écosystème passionnément reproduit sous serre ou sous coupole… Mais peut-être aussi que grâce aux enseignements collectés au cours de ces simulations, nous disposerions alors d’un temps d’avance et d’une marge de réaction suffisante qui nous permettrait de compenser les inerties de réactivité de nos milieux politiques, démocratiques, juridiques et économiques.
Il est certainement plus facile de simuler la vie sur la lune et sur mars que de manipuler, de reproduire les innombrables paramètres interconnectés d’une Terre de demain. Parce que ce ne sont déjà plus que des déserts complets déprimants, qu’on peut au pire éventuellement encore aller contaminer un peu. Pour cette reproduction de la Terre du futur, Il s’agirait de mettre en commun, intégrer et lier toutes les modélisations terrestres existantes, en gérer les interactions, en inclure d’autres. Et puis il y a aussi toutes ces diversités interdépendantes à répliquer… c’est riche ! Pfffiuw, c’est du boulot ! Un projet pharaonique de science-fiction qui parait utopique, mais j’aime bien et je pense que si on s’en sort sans trop de casse, un jour, ça se fera… A moins que par miracle, on n’ait plus de raisons de mettre en œuvre et de maintenir une installation de cette nature… En attendant, il s’agira de savoir autant que possible simuler ce simulateur dans nos têtes.
Je ne sais pas si à la base il y a un problème de priorités, de suprématie, de finances, de pouvoirs, de rivalités, de concurrence, de capitalisme, d’égoïsmes, d’avidité, de frime ou autre dans tout cela, mais en tant qu’individu idéaliste et rêveur qui n’a jamais fréquenté les bancs de l’université, je me demande vraiment où exactement ça peut coincer à ce niveau là ! Ils me semble que les scientifiques ont des outils puissants pour découvrir, progresser, expérimenter et vérifier leurs théories, mais qu’il leur manque un dispositif immersif pour béotiens, qui leur permettrait de nous mettre le nez carrément dedans…
Dans le cas où cette grande serre expérimentale futuriste aurait même en partie déjà été réalisée quelque part, ce serait sympa de la partager un peu avec nous tous et d’y organiser quelques “journées portes ouvertes“. Je pense que pour commencer, ça donnerait de bons reportages avec de poignants témoignages . Dans le genre : “- j’y étais et franchement, ça n’a pas été une partie de plaisir ! Et ce n’est pas demain la veille que je compte y retourner ! “
Mais si ça se trouve… je suis justement l’un des nombreux cobayes envoyés dans ce “climate situation simulation park” et je ne suis même pas au courant … 🙂
J’ai récemment une fois de plus, été contraint de réduire ma dose limite admissible de réalités crues, consternantes et choquantes. Pour en compensation, augmenter ma ration de consommation d’humour et me réapprovisionner en compléments de beautés, de fantaisies, de fictions et de rêves.
Je reconnais une tendance addictive à me suralimenter en informations des plus diverses et variées. Et dès que l’un ou l’autre des ingrédients qui composent cette potion parvient à me faire grimacer ou à me saouler, parce qu’en quantité trop importante, je saute sans attendre sur la batterie de mitigeurs et vise à de meilleurs réglages. Je rééquilibre la recette avant que l’élixir ne puisse se charger d’amertume ou tourner au vinaigre. Et je me dois de réagir vite : Il s’agit de la formule secrète de mon rehausseur de goût à la vie. Et ma foi j’assume, si lors de l’une de ces manœuvres correctives d’urgence, il m’arrive dans la précipitation de fermer arbitrairement de mauvaises vannes.
Aussi cette fois, c’est après avoir longuement hésité que j’ai décidé de faire le saut :
Je suis passé du côté obscur !!!
Je n’évoque pas celui de la force. Et rien de bien gothique non plus. Et puis, ce serait uniquement la nuit ! Parce qu’au cours de mes journées, je resterai toujours fidèlement attaché aux charmes et aux bienfaits de toute luminosité naturelle bénéfique.
En tant que spécimen curieux et touche à tout, c’est bien sûr sans ignorer les principes de précaution que je n’ai jamais d’emblée rejeté d’initiative personnelle visant à améliorer mon sentiment de bien-être quotidien. Même si je devais, pour atteindre ce but, un jour m’intéresser de plus près, à ce qui touche au domaine des sciences occultes !
Je m’explique : J’ai la chance d’habiter dans un quartier que je noterais de calme à très calme. Reste que sur le toit de ma chambre à coucher, il y a deux grandes Velux d’un mètre carré chacune, orientées plein ciel, sans l’être côté levant. S’ajoute encore une troisième fenêtre verticale : Pour que la lumière du jour puisse vraiment s’engouffrer partout et en totale liberté ! En cette saison dans cette pièce, le jour a tendance à se lever plus vite que les premières intentions de mon ombre. Avant même que ne débute pour moi, la tranche horaire où se présentent mes meilleures dispositions pour voyager dans le monde des rêves. Quand rêves il y a, ils se déroulent pour la plupart exactement dans ce cadre là. Et au réveil comme par miracle, ma sensation de repos effectif s’en retrouve considérablement accrue. Alors je me suis décidé à me bricoler des rideaux-stores occultant sur mesure et de jouer un tour à la science : Permettre à ma glande pinéale de continuer les yeux fermés, de produire de mélatonine en suffisance, en la faisant bénéficier d’une plage horaire élargie !
Cette initiative de m’aventurer du côté obscur s’est vue couronnée d’un réel succès : Rien de tel aujourd’hui que de me réveiller reposé avec, banane sur le gâteau, les réminiscences d’un rêve agréable accompagnées de cette divine sensation de sieste aussi courte que réparatrice. Et après cela, hop ! Pour commencer, une ou deux petites cerises d’humour par là-dessus. Et voilà qu’ensuite, ordre de priorités respecté à la lettre et dosages des ingrédients optimisés, se voient amenuisées voire éclipsées, les chances que je sur-dramatise au café noir, en parcourant des nouvelles du monde potentiellement angoissantes et des contenus de réseaux sociaux éventuellement déprimants…
En d’autres termes, depuis peu, une particule de lumière qui serait partie précipitamment du soleil pour parcourir la distance d’une petite dizaine de minutes-lumière jusqu’à la Terre, pourrait à l’atterrissage se voir rebondir sur l’un de mes trampolines à photons et rater complétement sa cible d’origine ! Et même si ça peut paraître un peu cruel, présenté comme cela, je sens que ça ne va pas m’empêcher de dormir ni de rêver !
Aujourd’hui les laboratoires de recherches SunOf vous proposent le diagramme de Venn du cœur à quatre secteurs.
Ce type de représentation graphique peut vous être utile pour vous guider, dans le cas ou vous seriez toujours à la recherche du grand amour.
Il peut aussi vous permettre de procéder à une simple auto-analyse de vos réelles préférences et attirances dans l’unique but de mieux vous connaître.
Il n’est également qu’un simple jeu, qui peut se révéler amusant.
Attention ! Les laboratoires SunOf déclinent toute responsabilité en cas de dispute ou de rupture consécutive à une auto-analyse basée sur cet article ou effectuée en couple.
Règlement
Ce diagramme est entièrement libre et totalement ré-définissable par vos soins !
Vous pouvez éliminer, ajouter et réorganiser à votre convenance tous les critères de base qui se trouvent dans les quatre secteurs de mon exemple. Vous êtes autorisé à ajouter des ” very ” devant les critères de votre choix ou de les souligner.
N’y figurent par exemple pas, les critères plus précis de préférences physiques, de niveau d’intelligence, ceux de milieu social, de niveau de réussite, de passions ou de compétences particulières, de richesse culturelle ou pécuniaire. Vous en trouverez très vite d’autres qui vous importent en priorité !
Le symbole du cœur qui rassemble vos préférences les plus importantes et qui sur mon exemple se trouve en plein centre du diagramme, peut-être lui-aussi déplacé à votre guise à l’intérieur de l’une des 8 autres intersections de secteurs.
Bonus
Si dans un deuxième temps vous deviez affiner votre recherche du grand amour ou pousser encore plus loin votre auto-analyse, sachez qu’il existe des diagrammes de Venn avec plus que quatre secteurs…