Je t’aurais reconnue entre mille, créature de rêve facétieuse transfuge de mon univers en éveil !
Mais je ne te connaissais pas l’audace de t’inviter dans mes escapades nocturnes sans prévenir !
C’est que cet endroit discret n’apparaît sur aucune carte, aussi difficile à trouver que le sommeil,
Et quelle délicatesse d’élire l’ambiance la plus réjouissante et festive de mes nuits imaginaires !
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Mon enthousiasme à la surprise de ta visite, dans ce parc d’attractions des plus extravagants,
Notre ivresse de tours de magie, sur les manèges fantasmagoriques du festival des merveilles,
N’estomperont Jamais les traces de nos sens épanouis, pas de place au doute à cet instant !
Ils persisteront telles d’exquises friandises à notre retour au grand jour, à l’heure du réveil…
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C'est dans le but d'illustrer cet article avec un dessin ou
autre, que je suis virtuellement parti à la découverte de
Luna Parcs du monde entier. Ici à droite, c'est l'entrée du
parc de Sydney. Vous devrez vous laisser manger par la bouche
de cette imposante "entrance face" si vous comptez aller vous
y amuser...
Un style d'entrée que je trouve très étrange et même
assez effrayant ! J'imagine que quelques bambins ont
été traumatisés à vie ! Je laisse mûrir cette idée et
on verra bien si je remplace cette image par autre chose
à l'avenir!
Cependant à mon sujet soyez sans inquiétude,
Je vais très bien !
Je dois encore me débarrasser de quelques articles
un peu moins optimistes que d'habitude.
Emporté par un torrent déchaîné d’ivresses hors normes
Foudroyé dans l’instant d’un enchantement contagieux
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Et je suis mort de peur à l’idée de ne plus te revoir
Le souffle coupé comme si ça devait être mon dernier
Et me voici condamné à errer dans de tourmentés couloirs
Hanté par ces sentiments dont je ne saurais me délivrer …
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Ça sent encore un peu la Toussaint jusque dans mes
tentatives de lundis poétiques.
Et une pensée pour tous ceux qui vont ou sont allés
jusqu'à mourir d'amour !
Hier à la téloche, j’ai revu le film documentaire “Avant le Déluge” qui date de 2016.
Nommé en tant que Messager de la Paix sur les questions climatiques aux Nations Unies, Leonardo DiCaprio avait parcouru le globe pendant deux ans pour faire un état des lieux environnemental.
Aujourd’hui, 3 ans plus tard, je constate qu’une part non négligeable et grandissante de la populationmondiale se réveille avec une gueule de bois et se regroupe un peu partout pour réclamer des réactions immédiates et concrètes ! Je propose aux sceptiques qui préféreraient peut-être encore profiter de la “fête” et à tout ceux qui roupillent encore, de se donner une chance supplémentaire durant une heure et demie de remettre en question leur vacillante ou embarrassante conviction. Ensuite il existe bien sûr encore beaucoup d’autres enquêtes et témoignages de ce genre disséminées ici et là et il sera toujours possible encore, aux plus obstinés d’entre nous, d’approfondir le sujet et de recouper toutes les informations qu’ils contiennent…
C’est encore imprégné et inspiré par ce poignant documentaire que ce matin, j’ai rédigé tout un un poème portant sur l’avidité capitaliste que vous pourrez lire plus bas. Je ne sais pas si ça avait déjà été tenté auparavant et si non, eh bien en voilà déjà au moins un pour la route !
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Poésie pour un naufrage
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A l’escalade du pinacle
de mon propre intérêt
A la poursuite d’ivresses conduisant au “sommet“
Je n’ai pas accumulé de capital
sympathie
De bienveillance je n’ai fait que l’économie !
Obsédé de vouloir tirer bénéfice
du doute
Convertissant en déluge ma future banqueroute
Je n’ai su être qu’un capitaine au “meilleur”cours
D’une poigne d’avidité dans un faux gant de velours
Je me traine sur les autoroutes de la fourmilière !
Inutile en fin de compte de n’avoir qu’en mains
De bonnes cartes pour arpenter la marche du destin !
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Hier j'ai délogé une vis de 12 mm de longueur plantée à la verticale
la tête en bas dans la semelle de ma chaussure. Heureusement, elle
n'avait pas traversé ! Mais depuis, lorsque je marche sur sol lisse,
ça fait un bruit gênant un pas sur deux...
On peut donc en conclure que j'ai été victime d'une crevaison.
Cette mésaventure est à la base de l'inspiration de cet article
qui, dans la foulée, a débouché sur cette parodie d'une
des cartes d'atout du jeu des 1000 bornes qu'on appelle aussi
"une botte".