Attention, l’histoire que vous allez lire n’est que pure fiction et est inventée de toutes pièces.
Je vous mentirais comme un arracheur de dents, si je vous affirmais qu’elle est authentique !
Depuis la terrasse de ton monde factice
Tu contemples sous ton ciel artificiel
Devant tes constructions de façade
Ton jardin d’acclimatation sophistiqué…
Au bord du grand bassin rempli de larmes
Ta fausse blonde aux faux espoirs préfabriqués
Ajoute encore du vernis sur ses faux ongles
Et doute toujours de l’apparence de ses faux seins…
Elle aurait flairé une comédie voir même des simulacres
Soupçonnerait l’apparition de faux semblants
Hier soir encore elle en a fait tout un faux plat
Elle a même été jusqu’à te qualifier de faux cul !
Alors tu es sorti lâcher quelques faux billets
Tu vas encore l’éblouir d’un étincelant ornement
Par de l’éclat imaginaire ou une belle imitation
Tu viens d’être catapulté ministre de la corruption !
Mais si ça se trouve elle aussi, elle a feint ?
Un petit mensonge nécessaire, mais mal incarné ?
Un faux-faux pas, ça tout de même, ce serait abuser !
Depuis le balcon de ton monde qui triche
Tu te régales que sous ton ciel postiche
On pourra te juger, mais point te condamner
Pour un détail comme un faux et un usage de faux
Puisque le faux de nos jours, c’est devenu l’usage…