L’incroyable sort d’un citron non traité et pas pressé

Alors que je n’en avais jamais connu une seule durant les premières décennies de mon existence, j’ai un jour commencé a développer ici et là quelques allergies alimentaires. Au début, c’était uniquement avec certains ananas ! Un fruit dont je raffolais particulièrement. Et puis ensuite, même chose avec les agrumes. Et un jour ce fût pareil avec un melon de Cavaillon !!! C’est là que j’ai sonné l’alerte ! Comment allais-je pouvoir survivre, si je ne pouvais plus librement consommer au moins une variété saisonnière de cinq fruits et légumes chaque jour ?

Et puis je me suis souvenu que par le passé, j’avais connu une personne allergique qui finissait à l’hôpital, si par malheur elle ingurgitait de l’ananas, ne serait-ce que sous forme d’extrait ou d’additif ! Et c’était dans un pays où il en poussait et des bien délicieux !

C’était devenu une sorte de loterie : Ça pouvait passer du fruit dégusté avec plaisir et sans avoir ultérieurement à pâtir de la moindre gêne , au déclenchement d’une inflammation de gorge persistante qui par la suite, se convertissait encore en “rhube” pour ne pas se laisser oublier trop facilement.

Après avoir enquêté là-dessus, j’ai décidé de modifier certaines de mes habitudes alimentaires. J’en étais arrivé à suspecter des effets indésirables dus à certains produits chimiques agroalimentaires. Les agrumes comptant parmi les produits intensément traités, j’ai par exemple, commencé à acheter des citrons non traités, malgré le fait qu’ils étaient conditionnés dans des sachets en plastique scellés. Et vérification faite : jamais plus aucune réaction allergique à déplorer avec ces fruits-là !

Mais voilà, n’étant pas traités après récolte, ils moisissent un peu plus vite. Et je n’ai pour le moment pas trouvé d’autre alternative que de les acheter par emballage de quatre pièces. C’est du gaspillage, car il y en aura toujours un qui finira par moisir avant usage et qui passera à la poubelle. Sauf aujourd’hui ! Parce que ce citron-là, qui commençait à peine à blanchir, c’est en personne que je me suis chargé de bien le traiter ! Mais à ma manière.

Voilà. Il se pourrait peut-être qu’un de ces jours, je vous parle de kiwis. Un fruit, avec lequel, j’ai toujours pu me flatter d’entretenir des relations sans histoires …

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Un ciel de fin d’un monde

Probablement le ciel le plus menaçant qu’il m’ait été donné de contempler jusqu’ici de toute ma vie.

C’était il y a plusieurs années déjà. J’étais parti à la dérive et conscient que cette période précise de mon existence, ne compterait pas parmi les plus exaltantes d’entre-elles. D’ailleurs ce soir là, je broyais du noir tout autant que le ciel. Alors, plutôt que d’aller me mettre à l’abri, je suis resté planté là, à contempler le spectacle que m’offrait cette monumentale animation. Et puis, il y avait cette lueur d’espoir : Celle que cette énorme bouche là-haut, s’approcherait encore un peu, s’ouvrirait en grand pour m’aspirer et m’avaler. Pour ensuite me recracher dans un monde parallèle…

Et vous n’allez peut-être pas le croire, mais c’est exactement ce qui est arrivé !

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Flotte ou crève !

Bouée de sauvetage géante et son accessoire porte-bougie pour les situations de sauvetage nocturne

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Ça y est ! J’ai encore nettement augmenté mes chances de survie sur notre planète saturée de dangers !

J’ai fait l’acquisition d’une bouée de sauvetage géante aux soldes ! Elle était prête à l’emploi, bien gonflée mais à prix dégonflé ! C’est que par les temps qui courent, je préfère être au moins un peu préparé à tous risques de montée brutale des eaux. A me sentir mieux prédisposé à me maintenir à flots en cas de vague scélérate ou de tsunami… Parce qu’à ma connaissance, personne n’a récemment investi le moindre kopeck dans la construction d’une arche qui permettrait à quelques clampins de survivre à un déluge et ainsi de sauver un échantillon éventuellement représentatif de notre espèce en voie d’extinction ! Aujourd’hui, nous préférons viser la lune, ou mars, qui ne sont pas réputées pour leurs inépuisables réserves de liquides. Et puis, il faut aussi anticiper d’une quelconque manière, cette élévation du niveau des mers et ces érosions qu’on nous annonce à cors et à cris.

Ça faisait déjà six mois que je n’était plus capable de nager ! Faire des longueurs dans une piscine olympique en crawlant ou à la nage-papillon, c’était devenu pour moi de l’histoire ancienne  ! Et faire la planche-pédalo n’a jamais été ma discipline de prédilection en natation. Pendant ces derniers mois, je pouvais encore tout au plus flotter deux ou trois minutes en surface, en m’inspirant de la brasse canine, avant de me sentir couler comme un pavé dans une mare…

Alors terminé les croisières, le canyoning, le rafting, le snorkling et la plongée sur nos derniers récifs de corail ! Une sortie à bord d’un hors-bord à plus de vingt mètres de la côte ? Je devais déjà faire une croix dessus lors de la phase d’évaluation des risques !

Durant tout ce temps, j’ai souffert d’une restriction aggravante de l’usage de mon bras droit. Et nager en agitant que le bras gauche et les orteils, même en synchronisation parfaite, n’est pas d’une efficacité ahurissante, hydro-dynamiquement parlant…

Tout cela est du à une douleur mal placée au niveau de mon épaule qui met une éternité à guérir. Je ne sais pas du tout ce qu’il m’est arrivé, sachant que je n’ai pas pour habitude d’enfoncer des portes à coups d’épaule ni de me livrer à d’autres gesticulations dévastatrices de ce type !

Au cours d’une enquête destinée à coincer le coupable de ce handicap de nageoire, j’ai fini par incriminer le seul suspect qui n’avait aucun alibi vérifiable aux yeux de la science: Après plus de vingt longues années de pratique quasi-exclusive de la boîte automatique, le principal suspect a du se réhabituer en changeant de véhicule, à la boîte manuelle à cinq rapports ! Et c’est son épaule droite qui a du en subir les séquelles en se réadaptant pour encaisser la lourde charge additionnelle que représentait la manipulation de ces nombreux branlottages de levier de vitesse…

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Une visite surprise au Luna Park

Je t’aurais reconnue entre mille, créature de rêve facétieuse transfuge de mon univers en éveil !

Mais je ne te connaissais pas l’audace de t’inviter dans mes escapades nocturnes sans prévenir !

C’est que cet endroit discret n’apparaît sur aucune carte, aussi difficile à trouver que le sommeil,

Et quelle délicatesse d’élire l’ambiance la plus réjouissante et festive de mes nuits imaginaires !

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Mon enthousiasme à la surprise de ta visite, dans ce parc d’attractions des plus extravagants,

Notre ivresse de tours de magie, sur les manèges fantasmagoriques du festival des merveilles,

N’estomperont Jamais les traces de nos sens épanouis, pas de place au doute à cet instant !

Ils persisteront telles d’exquises friandises à notre retour au grand jour, à l’heure du réveil…

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C'est dans le but d'illustrer cet article avec un dessin ou 
autre, que je suis virtuellement parti à la découverte de  
Luna Parcs du monde entier. Ici à droite, c'est l'entrée du 
parc de Sydney. Vous devrez vous laisser manger par la bouche 
de cette imposante "entrance face" si vous comptez aller vous 
y amuser...

Un style d'entrée que je trouve très étrange et même 
assez effrayant ! J'imagine que quelques bambins ont 
été traumatisés à vie ! Je laisse mûrir cette idée et 
on verra bien si je remplace cette image par autre chose 
à l'avenir!

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70 ans d’âge et pas une ride !

L’autre jour, je suis tombé sur une vieille bagnole de collection garée sur le parking d’un garage. Il s’agissait d’un modèle dont je n’avais jamais vu un seul exemplaire ni une seule photo avant ce jour là. Alors je me suis arrêté pour satisfaire ma curiosité : Il s’agit d’une voiture française de marque Panhard, modèle Dyna X de 1950, surnommée “Louis XV” par certains à cause de son style particulier, et “le crapaud” par d’autres…

On était vraiment encore très loin à cette époque du format exubérant genre SUV devenu la norme aujourd’hui et on devait se sentir serrés comme des sardines là dedans ! Le trou là-devant, au centre de la calandre, ce n’était pas pour le style, mais pour insérer la manivelle de démarrage manuel en cas de problème de batterie, de démarreur etc..

La raison principale qui m’a poussé à publier cette photo ici, c’est que sa carrosserie est entièrement en ALUMINIUM ! Il s’agit de ce matériau léger et qui ne rouille pas , avec lequel aujourd’hui, on fabrique volontiers des canettes de boissons à usage unique jetables !!!

Une matière première aux propriétés très particulières, qui à fabriquer à partir de la bauxite coûte très cher en énergie, mais qui serait recyclable presque à l’infini, pour autant qu’on prenne tous la peine de la considérer comme une matière plus précieuse qu’un simple contenant de boisson à balancer dans la nature ou dans la première la poubelle ! On devrait d’ailleurs sensibiliser notre jeunesse déjà à l’école à ce type sujet ! Savoir identifier les matières, les matériaux et leurs ressources naturelles et encourager la prise de conscience qu’elles ne sont pas illimitées. Histoire de peut-être encore éviter qu’ils ne s’en mordent les doigts, quand il n’y en aura plus !

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Le mode semi-incognito

Hier, je suis allé faire quelques courses dans un supermarché assez éloigné de chez moi.

Je me suis habitué au port du masque chirurgical dans les endroits publics. Et j’ai pris l’habitude de retirer mes lunettes de vue afin d’éviter que de la buée respiratoire ne m’empêche de décoder l’étiquetage des produits ou n’en floute le nutriscore.

Ça reste une impression étrange que de se faufiler entre les rayons dans la mascarade générale en mode « consommateur semi-incognito » ! Dorénavant, notre frigo connecté et internet en savent clairement plus long sur nos habitudes alimentaires que notre épicier de quartier pas très physionomiste.

Je me suis dit que ce serait peut-être la période idéale pour être en cavale. Être recherché par toutes les polices, pour délit de grimaces menaçantes sous cape sur la voie publique.

Je pourrais alors par exemple jouer au “gros bras” effrayant avec cette caissière ? Surjouer un peu à la manière d’un Darth Vador sous assistance respiratoire, celui qui ne ne veut pas laisser de place au moindre doute quant au respect de sa vie furtive future :

-Si jamais on te le demande…. tu diras que tu ne m’as jamais à moitié vu ! … Parce que je pourrais très bien revenir en tapinois …. pour vous mettre en quarantaine, toi et ton magasin ! Alors … motus, bouche cousue et masque par-dessus !!! Bonne fin … de journée !

Dans ce monde d’apparences transformées, ceux qui dessineraient les demi-portraits-robot ne travailleraient plus qu’à temps partiel. La reconnaissance faciale serait une technologie obsolète. Les caméras de surveillance recyclées en webcams météorologiques. Les délits de sale gueule devenus de l’histoire ancienne. Le selfie “intégral” qualifié d’obscène.

A nu, je reste aisément reconnaissable à mon auguste nez au design particulier et breveté. Mais là, en mode client furtif, je resterais à jamais méconnaissable et introuvable partout où je choisirais de me planquer. Cela grâce à la magie opérée par ce simple accessoire de camouflage identitaire et sanitaire en tissu synthétique…

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Alors que je sortais de la grande surface, toujours en mode semi-incognito, poussant mon charriot en direction de mon véhicule, une femme à l’élégance remarquable qui elle, arrivait au magasin au même instant, m’a longuement “dévisagé” comme si j’étais le seul bipède dans les parages qui aurait fait quoi que ce soit de particulier pour se faire remarquer. Elle a eu l’air troublée et ses yeux se sont mis à briller. Hypnotisée par je ne sais quels effets spéciaux, elle m’a salué très chaleureusement lorsque nous nous sommes croisés à la distance minimale recommandée de distanciation sociale ! Alors que moi, encore absorbé par mes emplettes, je n’avais pas même encore envisagé d’enlever le bas ! Je l’ai cordialement saluée à mon tour en lui adressant un large sourire invisible…

J’avais déjà remarqué que le port d’une belle chemisette moderne à manches courtes d’une taille en-dessous pouvait affûter l’émotion immédiate de certains regards féminins. Mais je ne m’attendais pas une seconde à pouvoir un jour apparaître plus attirant masqué qu’à visage découvert !!!

Cette situation pour moi inédite et déconcertante m’a également rappelé la très grande importance que je donne à ces moments magiques. Ceux-là même, qui peuvent naturellement et intensément émaner du croisement de deux regards inconnus… A ma connaissance, les sites de rencontres en ligne n’offrent jamais ce type de merveilleuses surprises dans leur catalogue de prestations ! Après mûre réflexion, je vais attendre un peu avant de m’inscrire et prendre le temps d’évaluer ma capacité à démasquer la beauté cachée de quelques inconnues envoyées à ma rencontre par le grand verger du hasard…

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Si j’ai souhaité apporter ce vibrant témoignage, c’est aussi dans le but d’encourager les derniers réticents. Ceux qui sont encore opposés au port du revêtement partiel de façade. Certains craignant peut-être, durant cette longue pandémie, de sacrifier une moitié de leur sex appeal et donc probablement aussi d’être amputés d’une partie non négligeable de leurs potentielles conquêtes déconnectées…

Et il ne faut pas oublier qu’il fût une époque pas si lointaine que cela, où les bals masqués étaient très prisés des joli-cœurs…

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Pour compenser l’absence d’une illustration plus récente dans cette thématique, vous pouvez suivre ce lien :

Un nuage chargé de questions

J’ai été du genre à me poser bien trop de questions,

Et donc de nature à manquer d’autant de réponses.

Je fus contraint de faire usage d’un brin d’imagination,

Afin de pouvoir me dégager de goulets d’incompréhension.

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Pour que les questions de principe et celles de bon sens,

Et celles pour lesquelles j’ai renoncé à obtenir une explication,

Ainsi que celles restées ouvertes ou celles en suspens,

Ne puissent se flatter de venir tarauder ma conscience.

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Avant que j’en fasse la récolte et que je modifie leur apparence.

Elles pouvaient former un nuage noir de points d’interrogation,

Avant que je les déleste d’une grande partie de leur importance,

Et que je remplisse certains blancs avec mes propres réponses…

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( ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ )

( ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ )

( ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ ⸮ )

Un petit nuage chargé de points d’ironie, c’est cadeau !

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Ou comment se poser trop de questions sur un sujet 
qui traite du sujet de se poser trop de questions...

Vol au-dessus d’un coucou suisse

Jamais je n’aurais imaginé un jour dessiner/peindre quelque chose qui ressemble de près ou de loin à un coucou suisse !

Ce délire-là est parti de l’une de mes séries de notes. En particulier de cette phrase composée d’un proverbe bien connu et de mon petit grain de folie additionnel :

Plus on est de fous, plus on rit, le soir dans le grand dortoir !

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Je m’intéresse à ce qui touche à l’urbex (L’exploration urbaine). J’apprécie particulièrement les documentaires et les photographies d’endroits, d’installations et de bâtiments désaffectés et abandonnés. Je pratiquais volontiers l’exploration de maisons et d’usines désertées quand j’étais gosse. Il y avait même un bâtiment presque en ruine et inhabité de cinq ou six étages juste à côté de chez moi. Je crois me souvenir que le propriétaire en avait hérité, mais ne disposait pas des moyens nécessaires pour l’entretenir et le rénover. A cette époque-là, on ne vivait pas encore dans cette société ultra-sécurisée et hyper-rentabilisée. Les lieux délaissés ne manquaient pas, même au village. Et trainait toujours sur place, quantité d’objets divers et variés, comme si les occupants avaient du partir précipitamment ou n’avaient pas eu les moyens de financer une déménageuse. Je me créais moi-même mes frissons, mes scénarios et mes films d’épouvante en me faufilant dans des greniers et des caves sombres. Souvent sans même me rassurer d’une lampe de poche. La règle était de ne jamais rien vandaliser : Pour que d’autres, puissent eux aussi ressentir l’impression grisante d’être les premiers à investir les lieux, depuis au moins… des décennies. Je me suis réellement construit durant l’enfance avec ce type d’exploration. Parce que le train-fantôme de la fête foraine une fois l’an, c’était insuffisant, trop concentré, trop guidé et manquait de réalisme !

L’illustration du coucou ? C’est parce que je suis tombé sur la photo en noir et blanc d’un grand dortoir d’hôpital psychiatrique. Deux rangées de lits vides et bien alignés mais que j’ai animés d’une ambiance imaginaire : Je me suis dit qu’on devait y passer des nuits de folie ! Qu’à l’heure du couvre-feu, on y passait du côté obscur de la camisole de force ! Qu’on y chuchotait des petites phrases électrochoc pour faire rire les autres pensionnaires de la chambrée ! Et qu’on devait certainement y voler au-dessus d’un nid de coucou…

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Une énigme de salon

Elle avait installé une grande échelle dans un recoin de son salon

Et une guirlande lumineuse qui en escaladait tous les échelons

Je n’ai pas vu d’étagère en hauteur ni de bouquins haut-perchés

Et pas de nid à poussière ni de plantes en surélévation à arroser

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J’ai cru comprendre qu’elle vivait seule à cet étage de la maison

Mais qu’avait-elle donc l’intention de suspendre à ce plafond ?

Que souhaitait-elle atteindre du haut de ce substitut d’escalier ?

Que cachait la présence de ce mystérieux élément de mobilier ?

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M’en retournant occuper les quatre murs de ma petite chaumière

Encore très intrigué et au regret de ne pas lui avoir posé la question

M’en retournant à mes quatre vérités et à me mêler de mes affaires

J’ai du en arriver à la conclusion qu’elle devait avoir ses raisons !

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Un jour elle déserta son séjour, peut-être lasse de trop y tourner en rond ?

Emportant ses petits secrets et faisant disparaître sa curieuse échelle…

Et c’est avec son voisin du-dessus, qu’elle avait transformé en compagnon,

Qu’ils sont partis s’installer en concubinage au plus près du septième ciel…

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Retour à la source

Welcome to ma jungle !

Le ruissellement d’eau de source qu’on peut entendre sur la bande son n’est malheureusement pas fidèle à la très agréable sensation de richesse sonore et d’impression de spatialité qu’on peut ressentir sur place. De l’endroit même où a été prise la photo. ( Probablement parce que ça a été enregistré avec mon appareil photo en mode vidéo et que ce n’est pas son point fort ) Reste que le joyeux chant d’oiseau sort pas si mal.

Un fichier son MP3 légèrement retravaillé avec Audacity, par Mr. débutant. Il y a largement aussi de quoi farfouiller ainsi qu’une bonne marge de manœuvre de disponible dans cette direction là…

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Mon petit musée (9)

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J’ai longtemps cru que c’était par crainte que je ne me transforme un jour en Bossu ou en Ogre, que ma mère me demandait si souvent de corriger l’alignement et la verticalité de ma colonne vertébrale et aussi de manger moins vite, m’assurant que personne n’allait, dans des délais raisonnables, venir me souffler mon repas de l’assiette.

Par contre, elle n’a jamais vraiment du me seriner pour que je marche droit et que je finisse mes légumes !

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Évasion estivale

Après trois ou quatre mois de semi-confinement, je méritais un grand bol d’air frais !

Et aussi quelques promenades à vélo et à pieds dans la nature lorsque les températures sont assez clémentes pour ça. Et de constater ensuite, qu’il y avait des muscles dont j’avais oublié l’existence et l’utilité… J’étais bien plus rouillé que je l’imaginais !

Et là, je me dis qu’il pourrait me falloir plus de trois mois pour m’en remettre !

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