Embrâasse-mouâa !!!
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Quand je n’étais encore qu’un brave petit têtard,
Je n’imaginais pas une seconde qu’au delà de mon nénuphar,
A l’autre bout de mon marécage sur la rive de la grande mare
Attiré par le parfum de la fleur inconnue en goûtant au fruit du hasard
Comme si j’étais subitement devenu le plus chanceux des veinards
Un jour plus rien ne me paraîtrait étrange, inquiétant ou bizarre…
Je ne ressens presque plus de peurs
Sans doute par la magie du bonheur