Business model

Aujourd’hui, j’ai retrouvé dans ma pile d’ébauches de dessins, une simple annotation écrite : “Business Model”.

Je me suis souvenu m’être à un moment donné amusé de ce rapprochement facile entre “top model” et “business model” m’imaginant probablement un de ces jours prochains dessiner une top modèle juste un poil sexy en diable, étranglée d’une cravate plus vulgaire qu’un décolleté et lestée d’un attaché-case rempli de business (bons) plans…

Et puis en dessinant, je me suis rappelé que de nos jours, la malette d’affaires avait depuis longtemps été dématérialisée et les documents qu’elle contenait, digitalisés et envoyés dans de nuageux classeurs. Alors j’ai gommé de la scène l’embarrassante valoche.

Puis ma première “top modèle d’affaires” dessinée m’a semblé un peu rigide, limite coincée. Alors j’ai découpé le dessin en plusieurs morceaux et ai réinventé à la dame, une toute nouvelle dégaine en réorientant les morceaux de papier…

Une de ces dégaines que les top business modèles masculins qui passent le plus clair de leur temps à péter dans le fond de leurs grands fauteuils en cuir ne pourront à jamais, que leur envier…

 

Ne vous mettez pas ici à la recherche d'un quelconque message pour la planète. 
J'ai simplement laissé le champ libre à ma créativité après m'être senti 
cette semaine un peu débordé, bombardé de trop d'informations sur les réseaux 
sociaux et ailleurs... C'était comme souvent, juste ma manière de me défouler !

 

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