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Le mouton à plumes

Je suis ravi aujourd’hui d’inaugurer une nouvelle rubrique sur ce blog baptisée “Dézinguages

Vous n’avez probablement jamais encore entendu parler du mouton à plumes n’est ce pas ? Eh bien, il s’agit d’une évolution naturelle du mouton (image de gauche) qui finit à force d’ invariablement suivre le troupeau sans jamais oser se rebiffer par se métamorphoser en mouton à plumes, plus communément aussi parfois appelé pigeon (image de droite)

Je vous avoue qu’il m’arrive parfois moi-même d’être pris de soudains tremblements, de me sentir pousser des plumes dans la nuque, sur les bras et ailleurs. Et je pense avoir compris que cette désagréable sensation prend en particulier possession de tout mon corps lorsque l’on cherche à me tondre d’une manière sournoise, l’on désignant ceux qui pensent que je ne me révolterai jamais, parce je ne suis qu’une gentille brebis égarée parmi ses semblables, toutes enfermées dans un enclos contrôlé par les grands bergers du profit.

Jusqu’ici, j’ai pu contenir mon évolution de lainage vers le plumage et ai plutôt bien résisté à une mutation définitive. Mais il a fallu pour cela que je décide de m’enhardir et que je me fasse une teinture des plus radicales : Devenir un mouton noir !

Voilà pour l’intro, donc bienvenue cher lecteur sur les “dézinguages” publics de SunOf.

C’est ici que je vais dorénavant investiguer et documenter des filouteries institutionnalisées, dégommer du sacripant notoire et dézinguer nommément tous ceux qui n’ont pour simple but que de carambouiller le blanc mouton que j’ai été…

Le dernier grain de sable …

C’en est fini de la gloire, de cela n’est plus ton heure,

Adieu Monsieur l’odieux dictateur !

Bâtisseur fripouille de personnelle fortune,

Depuis ton palace, ne vois-tu poindre les rancunes ?

 

C’est terminé, fripouille, malfaiteur,

Adieu Monsieur le despote tricheur !

Fondateur d’une autorité basée sur la peur,

Depuis ton perchoir, n’entends-tu ces clameurs ?

 

Il sera vite réglé ton sort vieil usurpateur,

Adieu Monsieur l’immonde tyran bonimenteur !

Maître-chanteur, tortionnaire rupin

De ta citadelle, comprends-tu l’imminence de ton déclin ?