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Article répulsif pour contributeur bête et féroce

C’est aujourd’hui que je vous balance une « très grossière pièce d’art moderne avec prétentions » à détester cordialement et sans ménagement !

Ce dessin vous est destiné en particulier à vous, qui avez pour principal talent, si ce n’est votre unique prédisposition, que de répandre le taux d’acidité élevé et polluant de votre déversoir de haine, par exemple dans les fils de commentaires des réseaux sociaux ou dans ceux des articles de journaux en ligne.

Pour cette fois, je vous enjoins à vous laisser submerger par l’hostilité quasi systématique qui vous caractérise, en vous apprenant que cette parodie de votre singularité griffonnée à la hâte est ma version antagoniste du pouce levé ou du petit cœur ! Ceux que l’internaute basique et complaisant à la fâcheuse habitude d’attribuer à une contribution intelligente, appréciable, touchante ou pleine de bon sens.

Et ma foi, lorsque que vous, névroptère inconfortablement emberlificoté entre deux fils de la toile, débiterez vos nigauderies déplacées, distillerez vos diatribes exaspérantes, balancerez vos certitudes irréfléchies, lâcherez vos convictions exemptes d’arguments, je vous dédicacerai en silence, ce petit bonhomme qui vient subitement de réaliser à la fois, la profondeur et l’envergure de sa bêtise.

De cette manière en étant amené à découvrir l’une de vos misérables performances , je me sentirai dispensé de devoir m’opposer à votre médisance gratuite et qui sait, nous éviterai à tous deux, quelques orages d’hyperacidité gastrique.

Évidemment il n’y a pas de raison que la sentence du petit bonhomme au crâne vide ne s’applique pas à mon endroit. J’ai conscience de ne pas avoir toujours su réagir de la manière la plus réfléchie et constructive qui soit et que je n’ai pas été capable de n’écrire de mes dix doigts, que des phrases sensées ou d’une quelconque utilité ! Et c’est volontairement et de manière permanente que je me soumettrai encore à sa vigilance !

Maintenant faites-moi l’amitié d’exprimer sincèrement toute votre aversion, votre détestation, votre exécration. Défoulez-vous ! Débourrez-vous les tripes ! Débarrassez-vous de ce lest qui vous a jusqu’ici empêché de prendre de l’altitude ! Crachez sur cette horripilante caricature ce qu’il vous reste encore de venin, de fiel, de vomi, et ensuite offrez nous un peu de repos.

Mais si ça se trouve, c’est justement pour faire chier le monde que pour une fois vous userez de votre droit de garder le silence , ou sans prendre la peine de riposter dans votre style laconique, irez jusqu’à bousculer le petit cœur à contrecœur ou goûterez au vertige d’un pouce haut perché !!! 

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[Note] Je réalise que c'est nettement plus fatiguant d'écrire 
des trucs méchants et bien tordus !!! 
Et là ben, j'ai lessive en ensuite piscine alors ne vous déplaise, 
Je porterai la touche finale à ce "brûlot" plus tard...

Pas à la baguette ni avec des pincettes

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Ne me menez pas à la baguette, mais ne me prenez pas avec des pincettes !

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Définitions :

Mener à la baguette [ diriger fermement ]

Prendre avec des pincettes [ Prendre avec beaucoup de précaution ]

Je ne parviens pas à me décider entre la version paysage 
et la version portrait !
La première fait barrière et l'autre fait prison...

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Mon bug de l’an 2000 à moi !

Cette histoire s’est déroulée en l’an 2000. L’année du fameux bogue qui était censé tous nous vautrer dans une mouise technologique insurmontable !

Au réveil du réveillon de la Saint-Sylvestre, aucune machine informatisée avec laquelle j’étais directement en contact n’avait eu à en souffrir. C’était un bug plus pernicieux qu’annoncé ! Il s’était attaqué par surprise à l’être humain que je suis. Faisant fi des prédictions des spécialistes ne ciblant pour victimes potentielles, qu’appareils et machines antiques.

Ce monde était-il subitement devenu fou ou alors, n’était-ce que moi ???

Pour obtenir une réponse valable, j’ai pris un rendez-vous pour passer au détecteur de folie. Durant l’interrogatoire, chacune de mes réponses aux différentes questions de l’enquêteur affolait le traceur du polygraphe. Sur le papier, il m’a vite paru évident qu’en définitive, c’était bel et bien moi seul qui allait être officiellement déclaré frappadingue !

Au terme de l’audition, le détective m’a confirmé qu’un peu de repos n’aggraverait pas mon cas et qu’en ce qui concernait le monde, son diagnostic était en tous points identique au mien. Que malheureusement à son niveau, il disposait de beaucoup plus d’espoir que de moyens pour intervenir efficacement au niveau mondial. Et il a tenté de me rassurer en m’affirmant que ce monde souffrait déjà de folie pure bien avant que je ne développe mes premiers symptômes. Que j’avais très probablement, comme tant d’autres déjà avant moi, été infecté par contagion par mon environnement.

Dans la foulée, il m’a proposé un séjour détente en pension complète au grand palace des détraqués. Une offre que j’ai évidemment acceptée. Le déplacement en shuttle était inclus dans la formule all inclusive de cette villégiature et j’ai pu laisser mon véhicule sur place. Le chauffeur m’a proposé de choisir entre la camisole de force ou tout simplement, de boucler ma ceinture de sécurité. A quelques dizaines de kilomètres de là, la somptueuse auberge qui me recevait se trouvait être presque isolée en rase campagne à la croisée de deux axes routiers.

C’était un établissement massif et rustique planté dans un paysage bucolique. Une abbaye historique reconvertie en chambres d’hôte pour barjots. L’accueil m’a paru chaleureux et j’ai rapidement pu prendre possession de ma chambre individuelle.

C’est lorsque j’ai remarqué la présence de barreaux solidement scellés derrière les fenêtres et constaté que l’intégralité du mobilier de ma suite royale était constitué de pièces rembourrées de mousse de polyuréthane que je me suis senti glacé par un rush de mauvais stress !

Je me suis vu débarqué par erreur dans le remake local de vol au-dessus d’un nid de coucou. A me faire court-circuiter le bulbe au quotidien par un toubib électro-sadique pour ensuite subir, durant mon temps libre, les persécutions d’une odieuse infirmière rombière-en-chef.

En un éclair et en toute discrétion, j’ai attrapé mes affaires et ai choisi la tangente. Je me suis faufilé hors de l’établissement et ai traversé à pas de géant le grand parc pour aller faire de l’auto-stop. C’est là que m’a retrouvé une infirmière pas-du-tout-rombière qui s’était lancée à ma poursuite. Elle m’a persuadé en douceur de l’accompagner à la résidence pour prolonger mon séjour et profiter pleinement de ses bienfaits …

A mon retour dans mes appartements, un voisin de palier lui aussi présumé toqué et qui m’avait entrevu en train de déguerpir à l’anglaise, est venu s’enquérir d’où j’avais bien pu vouloir me rendre !

Je lui au répondu que j’avais été saisi d’une alerte de code rouge en découvrant mon nid de coucou et que probablement, sur un coup de folie, j’avais jugé préférable de déserter le secteur pour aller tendre le pouce en bordure de la nationale pour retourner chez moi.

Le voisin m’a jeté regard flegmatique, qui visiblement confirmait le diagnostic qui m’avait invité à loger sur place et il a ajouté : De l’auto-stop ? Ici ? Aucune chance ! Jamais personne ne prend le risque de s’arrêter pour embarquer un pensionnaire !

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[ Bonus ] Il est vrai qu’il n’est pas interdit d’imaginer qu’un “fou” pourrait se trouver sur le trottoir à regarder passer des voitures avec grand plaisir en levant un pouce à l’intention de leurs conducteurs, pour leur signaler qu’il trouve que de son point de vue, ils conduisent vraiment très bien…

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Full underground

Je suis actuellement en congé en mode « full underground ». En ce moment je me trouve sous-terre et à plus de six pieds.

Je me suis exilé pour une durée indéterminée loin du monde des « smombies » qui pullulent partout en surface. J’ai besoin de profondeur, de ménager mon temps d’attention dans un labyrinthe de galeries imperméables à toute onde pénétrante et manipulatrice. J’ai la ferme intention de me sentir aussi déconnecté que possible de tristes réalités. J’ai abandonné mes centres d’intérêts en gare dans un casier de consigne. Tant pis pour les « likes » et tant mieux pour les « dislikes ». Les commentaires provocateurs et négatifs resteront tous lettres mortes. Plus la moindre étincelle de curiosité disponible pour des fake news, les fake friends et les tronches de fake cake… Des vacances d’homme de caverne dont tous les accès sont bloqués par un pare-feu à toute forme de cyber-connerie. Une permission bien méritée pour survivre avec mon temps sans pression technologique, à gribouiller à la craie à l’intention d’éventuelles générations futures, des témoignages sur d’ancestrales parois rocheuses . A établir une relation tactile privilégiée avec de l’argile et tout cela, sans avoir à être interrompu par une putain de sonnerie de notification….

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Timing presque parfait !

Ce matin j’ai pris le TGV de 7h et j’ai pris cette étrange photo avec mon smartphone quand le convoi entrait en gare en étant ébloui par le soleil à contre-jour…

Je pensais que ce serait encore une autre de ces photos ratées, mais à ma grande surprise elle a quelque chose de spécial, un timing presque parfait…

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Après bien sûr, c’est seulement mon avis personnel !

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Ultimate Chaos in the Sky

Une photo compromettante prise depuis ma fenêtre !

J’ai lu dans un journal qu’un panel non négligeable de terriens écoresponsables ont décidé de renoncer à prendre l’avion à tout bout de piste, dans le but d’alléger leur bilan carbone, et je les en félicite !

Rien qu’hier, j’ai été le témoin direct d’une situation inédite, qui prouve que même les couloirs aériens en orbite basse et en rase-motte sont désormais saturés d’appareils ! Heureusement, cet embouteillage spatial n’a cette fois-ci, pas eu de conséquences dramatiques !

Toutefois, cette démonstration me fera dorénavant privilégier le train électrifié, quitte à devoir casquer le juste prix et lui accorder une proportion raisonnable de patience, que sans m’acharner à être le pire des mangetout, j’estimerai volontiers aussi plus convenable.

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Des citations bien comme “il faut…”

A la poursuite d’une idée loufoque que j’avais entrepris de laisser germer, j’ai tenté sur internet, une recherche de citations et de proverbes qui contiennent les mots “il faut..

Je suis tombé par hasard sur trois variantes philosophiques, trois époques et versions de développement, de styles totalement distincts de ces choses qu’il faudrait..

Il m’a instantanément paru évident “qu’il fallait…” que je publie cet extrait de copie d’écran ici (sans trucage)

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Et si vous êtes resté sur votre faim en lisant la citation de Victor , la voici en entier :

Je t’estime autant que je t’aime. Je sais que c’est une vieille rouerie* des amours vulgaires qu’il faut cacher la moitié de ce que l’on éprouve. Je pense précisément le contraire, et je le fais comme je le pense. L’amour est une puissance, il ne peut rien craindre; l’amour est une loyauté, il ne doit rien cacher.

Rouerie : Action d’une personne rusée.. Synonymes : astuce – ficelle – fourberie – ruse – stratagème

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La canicule du samedi soir

L’esquisse de ce danseur au déhanché “caliente” occupait mon tableau d’affichage de projets depuis des mois voire des années, si ce n’est des siècles

Comme on est “déjà” en plein mois de juin, qu’une première période de canicule s’est manifestée avec un peu d’avance, avec l’intention évidente de tous nous pré-cuire pour la saison d’été et que le jour de demain tombe comme par hasard sur un samedi, j’ai invité ce sympathique et talentueux danseur à venir faire grimper le mercure sans retenue avant de lui accorder une place à l’ombre et au frais au fond d’un carton d’archives.

A une autre époque, pas si lointaine que ça, le samedi soir, nous avions l’opportunité de nous délecter d’une bonne fièvre ! ( Ça s’appelait la fièvre du samedi soir / the Saturday Night Fever en langue anglaise ) . C’était une bonne fièvre d’une température et d’une durée parfaitement supportables dont on se remettait en principe au plus tard très tôt le lundi matin avec la ferme intention de souffrir d’une rechute le samedi de la semaine suivante …

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Mais voilà, il faut toujours qu’on nous mette des bâtons dans le feu ! Il y a certains samedis soirs de l’époque actuelle, où il ne serait vraiment pas très prudent de mélanger fièvre et canicule un même soir !!! Et cela même, si à la base on se sent vraiment chaud-bouillant pour aller transpirer et mettre feu dans une super fête qui déchire sa marque de thermomètre !

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Notez que pour cette fois, je vous fais grâce 
d'une boule à facettes dans ce dessin...

Cinquième et sixième étape

Il semblerait que ce soit cool d’avoir vingt ans ! Moi je n’en sais rien parce que j’en ai encore que quatorze. Papy lui, il les a déjà fêtés quatre fois, ses vingt ans !!! Je crois qu’on peut en conclure qu’il connait très bien le sujet ! Et je confirme que Papy, il est quadruple fois cool !

Papy à chaque fois qu’il fête un multiple supplémentaire de ses vingt ans, il accepte de supprimer une partie des données de sa mémoire : Il fait le ménage ! Il libère de l’espace dans sa tête pour de nouvelles expériences. Du coup forcément, il ne peut pas toujours se rappeler de tout. D’ailleurs Papy affirme que ça l’arrange bien d’effacer des souvenirs qui pourraient inutilement l’embarrasser. Il dit que c’est même un privilège qu’il a eu la chance d’acquérir « sur le tard » ! Il appelle ça, la faculté d’oubli

Papy déclare qu’au pire, s’il devait oublier des choses vraiment importantes, il y a Mamy qui prendrait le relais ! Papy m’a confié que Mamy a été dotée d’une mémoire en béton, un peu calquée sur le modèle de celle des éléphants. Elle n’oublie jamais rien et elle ne se trompe pas souvent, ce qui ne serait toutefois pas toujours idéal pour arranger ses bidons.

Un jour Mamy m’avait chuchoté à l’oreille : « Tu sais mon petit, Papy perd un peu la mémoire. Parfois, lorsque je l’envoyais à la cave pour chercher à manger et à boire dans la réserve, Il avait tout oublié de l’objectif de sa mission à son arrivée en bas de l’escalier. Et il remontait les mains vides et la mine renfrognée. Depuis, c’est pour lui éviter des voyages inutiles que je lui écris des « listes de courses ! »

Papy il a quatre-vingts ans et il est toujours partant pour faire des courses ! Récemment, il m’a confié que ce fût déjà une très longue route et que ça a filé de plus en plus vite. Qu’il vaut mieux ne pas trop le répéter à Mamy, mais que parfois il lui arrive de se sentir un peu en bout de course. Moi pour l’encourager, je lui ai proposé qu’à partir de l’année prochaine, pour dépasser les quatre-vingts et s’offrir une pointe à cent-vingt, il devrait envisager d’aller faire ses courses sur l’autoroute…

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Papy au volant au cours de la cinquième étape

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Une petite histoire brodée autour d'une anecdote 
garantie d'authenticité : La "note interne" pour 
descendre à la cave...

Une inconnue en robe (2)

2ème croquis de ma série spéciale d’exercices “nul en cheveux”.

( Je suis rarement satisfait des coupes de cheveux que je dessine à mes personnages et il faut que je travaille en priorité là-dessus)

L’attitude de l’inconnue ci-dessus aurait du être fidèle à celle ci-dessous. J’ai donc recyclé l’esquisse de cette attitude mal respectée dans cet autre dessin de silhouette.

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Un peu de pression sur une expression

J’aime beaucoup les bonnes vielles expressions ! je crois qu’on peut souvent s’y fier, les yeux fermés. Mais je reconnais que je ne les apprécie pas toutes !

Un bon exemple : « le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt ! »

A mon avis c’est bien simple : le monde, il appartient à tout le monde !

On ne va tout de même pas en arriver à faire sniffer une substance excitante à un paresseux, pour qu’il se mette enfin à sauter de branche en branche dès l’aurore comme un jeune singe agité ???

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n réveil-matin qui n’a pas l’intention de réveiller qui que ce soit ! (Anthropomorphisme)

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Mais j’en suis certain, parmi leurs cousins humains, il y en aura toujours l’un ou l’autre dont l’ambition prioritaire sera de devenir le maître du monde ! Il a eu vent de cette expression, alors évidement il devient un grand matinal. Rien de tel, lorsque l’on se définit comme un battant que d’affirmer qu’on est “plutôt” du matin ! Au départ, il lui faut un temps d’adaptation et doit se forcer à ingurgiter en continu plusieurs mugs de café noir. Mais par la suite, il ira au devant de tous les sacrifices ! Il poussera le bouchon jusqu’à aller faire une heure de jogging, avant même que le soleil en personne ne se soit levé ! C’est qu’un maître digne de ce nom, doit aussi être en mesure de compléter les imprécisions d’une expression…

Si à l’aube il traînerait au plumard, il n’arriverait pas à ses fins assez rapidement. Le maître du monde en herbe en général, est pressé, comme le temps. Il doit à tout prix coiffer la concurrence et ceci, bien avant le poteau ! Il faut devenir le maître du monde avant d’être pris de vitesse par un candidat lambda qui comme lui, ne connait pas la peur de sauter à pieds joints de son matelas de briques, dès la première perche du réveille-matin. Tout cela se joue de très bonne heure. Lorsque les peigne-culs, les désintéressés, les découragés, les modestes, les fêtards, les couche-tard se prélassent encore lamentablement à l’horizontale ! C’est à l’intérieur de cette fenêtre horaire idéale là, que se trouvent les meilleures chances de se distancer de ceux qui somnolent dans une brume épaisse sur un oreiller trop moelleux, de ceux qui s’accordent leurs séries de cinq minutes de rab en se dessoudant les paupières sans trop forcer et en se décrochant plus de deux fois la mandibule…

Et une fois que le maître du monde sera en place, il occupera une position idéale pour imposer sa recette miracle au reste du monde ! Il répétera en boucle et sans bailler que c’est grâce au labeur productif réalisé durant ses heures supplémentaires matinales, qu’il a facilement substitué à de stériles périodes de détente, qu’il a été amené à poser son cul sur le trône ! Il ne vous avouera probablement pas facilement, que “depuis peu”, il ne trouve plus que très rarement la porte de sortie de sa zone d’inconfort, qu’il souffre d’insomnies chroniques et qu’il jalouse secrètement ceux qui osent/peuvent encore s’offrir une bonne grasse matinée ou une sieste régénératrice…

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A mon avis c’est bien simple, le monde n’appartient à personne en particulier !

Ou alors s’il fallait vraiment élire des propriétaires officiels, je souhaiterais qu’il s’agisse d’un collectif de proprios avisés, mesurés, calmes, bienveillants, compréhensifs et relaxés : Et que le monde appartienne à ceux qui avant-tout savent prendre le temps de rêver !

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Mot : Matutinal

définition : Littéraire. Qui appartient au matin.

Sens et emploi : du matin ; qui a rapport à l’office des matines. Je n’ai pas encore pris mon café matutinal. Ce vieux mot est encore employé par plaisanterie, pour produire un effet d’archaïsme. ( Source : Larousse )

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Un petit délire inspiré par une longue chaîne d’enthousiasmes. 
La plus productive ayant été celle, où j'étais encore couché 
dans mon lit ce matin très tôt, entre 8h et 9h (AM) ! ;-)