Mon tout premier “smiley” tactile ! Il a l’air ravi, vous ne trouvez pas ?
Je débute alors je ne me fais pas trop d’illusions : il ne vont pas le retenir chez Unicode pour l’ajouter dans la série des emoticons officiels. D’ailleurs, je remarque qu’il faudrait que j’en fasse une version optimisée avec un index levé tourné vers l’écran (tactile) à hauteur d’yeux…
Ha ! Le tactilemoticon V2.0 est déjà en gestation… Et puis ensuite, il faudrait que j’en fasse une version féminine , une pour droitiers, une autre pour gauchers, une pour les ambidextres, une par couleurs de peaux répertoriées, une autre qui serait LGBT(+A à Z) friendly .. etc.. etc.. Pour ne pas discriminer ou froisser qui que ce soit ! Je risque de vite en arriver à la V300.0 !
Jusqu’ici je dessinais surtout au crayon de papier et/ou à la souris. Je ne suis jamais parvenu à passer à la tablette graphique : Celle qui n’est pas “directement collée sur l’écran”. J’en possède une, mais je crois qu’il me manque un pilote prérequis de la série “coordination” dans la jungle de neurones qui m’anime !
Sur la photo ci-dessus, il s’agit d’un PC de type “cahier” convertible en tablette, avec un écran tactile de 14” : un PavilionX360 de chez hp. (La gamme X360 permet unerotation du clavier sur 360 degrés, autour de l’écran bien sûr …)
Une petite merveille qui mérite un peu de publicité !
Je réside actuellement sous les toits, au quatrième étage d’un immeuble sans ascenseur.
C’est idéal parce que c’est au plus près du bleu du ciel et gravir et dévaler ces nombreuses marches, c’est bon pour le cardio et les guiboles ! Mais ça peut aussi se transformer en véritable enfer lorsqu’il s’agit d’y transporter un objet volumineux ou pesant.
Hier pour varier les plaisirs, j’ai échangé l’une de mes obsessions contre une autre : Je suis passé du mode « céramique » (consulter les articles précédents) au mode « bricolo-geek »
Je me suis enfin décidé à rapatrier mon imprimante laser couleur grand format A3 (une merveille de technologie) qui pèse pas loin du demi quintal ! Mais même réduite en pièces détachées, impossible pour moi l’athlète du grand escalier, d’envisager une ascension avec ce châssis à bout de bras : En tout cas pas sans craindre au minimum, un tassement irréversible de trois ou quatre vertèbres…
Alors ne sachant plus vers quel montagne de muscles me tourner, j’ai dû me résoudre à vendre mon âme au diable à prix cassé ! Ma seule condition était que ce ne soit pas une transaction qui débouche sur un usage unique et que la question du recyclage soit prise en considération dès la conclusion du contrat !
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Étagère du diable
Liste des composants :
1 âme encore à vendre (non hypothéquée)
1 diable ( gamme de plusieurs niveaux de finitions et de coloris à choix )
4 à 5 planches de bois de récupération
8 équerres métalliques
1 sachet de vis à bois
1 bouquet de colliers de serrage ( Ty-rap ou équivalent )
1 rouleau de bande adhésive solide et large
Divers objets et bibelots ( selon ses goûts personnels )
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Il est néanmoins recommandé, avant de dilapider votre unique âme et de passer commande de votre étagère, de vous assurer que cette pièce de mobilier très originale, et aisément amovible , sera bel et bien compatible en tous points avec les goûts personnels de vos conjoint(e) et cohabitants…
Ce matin, je me suis arrêté chez le maître souffleur de verres optiques pour faire tester ma vision d’avenir … Apparemment (haha) , une petite mise à jour, n’était pas un luxe !
Ça faisait au bas mot une décennie que je visionnais le film de ma trépidante existence au travers de mes bons vieux carreaux progressifs “full HD”. Entre temps, même le cinéma est passé à la 3D ! Je suis une preuve vivante qu’il existe encore des bipèdes occidentaux qui supportent de vivre au quotidien en se contentant d’une ou deux technologies de retard !
J’ai investi dans une nouvelle monture, sertie de verres correcteurs optimisés pour la quatrième dimension (4D) ! Parce que la 3D, je connaissais déjà alors tant qu’à faire, autant opter pour un “upgrade premium” …
Et je peux vous affirmer que la vision en 4D ça vous file quand même un tout petit peu la banana !
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Revenez prochainement faire un tour sur ce blog ! Parce que dès aujourd’hui, vous aussi vous allez mieux voir ce que vous allez voir ! !
-Hahaha ! Elle va être difficile à meubler ta nouvelle maison !
-Hé dis-moi et il est où le garage ?
-Là dedans au-moins tu ne laisserais pas traîner tes affaires dans tous les coins !
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Cette maisonnette existe depuis un bon bout de temps déjà. J'avais pour projet d'en tirer un dessin final plus travaillé et plus léché que ça. Mais voilà, une idée chassant l'autre, je travaillerai plutôt sur un projet plus ambitieux.
Soyez la toute première admiratrice de SunOf à résoudre ce puzzle qui compte pas moins de 48 pièces, et qui se trouve être parmi les plus difficiles et les plus sexy du genre ! Vous aurez ainsi toutes vos chances de gagner un week-end de rêve en sa délicieuse compagnie dans la localité la plus émouvante de son choix ! ( Les repas en tête à tête et la visite des environs sont bien évidement inclus )
Il s’agit d’un jeu de patience visuel de type casse-tête, mettant en scène au recto de chacune des pièces, un fragment du corps d’athlète de votre serviteur dans une scène habituelle de la vie courante : Il procède à ses ablutions dans son plus simple appareil ! Il va de soi que ce genre de puzzle n’est pas à mettre entre toutes les mains : Le rideau menace de tomber à tout instant !
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Un petit conseil : Si les puzzles ne font pas encore partie de vos spécialités, commencez par assembler les pièces qui forment les coins et les côtés du jeu !
L’intelligence artificielle, comme d’autres formes d’intelligence est-elle susceptible un jour, sans prévenir de « péter un plomb » ?
En ce moment on nous saoule au quotidien à toutes les sauces avec l’intelligence artificielle (IA)
Il y a quelques années, on nous bassinait avec la logique floue (fuzzy logic)
Dans ma jeunesse déjà, l’une de mes connaissances se la surpétait en me parlant de « réseau de neurones » comme s’il l’avait lui-même inventé. Plus d’un quart de siècle plus tard, je n’ai toujours pas vu la couleur d’un seul de ces fameux neurones organisés !
Récemment, nous avons connu la période de gloire de l’ « algorithme ».
Et une fois que tout le monde en a parlé et que tout le monde en a entendu parler, on nous déniche un nouveau terme quasi mystique pour alimenter les appétits technophiles et rétablir une certaine hiérarchie entre ignorants et experts. Comme ça, on peut recommencer à jouer à celui qui a la plus grosse… connaissance du sujet !
D’ici quelques mois, il se pourrait que ce soit enfin le tour des adjectifs et que tout devienne subitement « quantique ou quantum ». Exemple : Yeah ! J’ai enfin reçu mon tout nouveau smartphone quantique de troisième génération !
En attendant appelons ça intelligence artificielle ! Parce que ça passe mieux que de devoir expliquer que : « oui mais tu sais, ça c’est une machine qui s’occupe de ce travail là ! »
On le sait bien : Une machine, c’est bête ! Et une intelligence artificielle, ça reste une machine mais par définition, c’est moins con qu’une machine toute bête ! Vous me suivez ?
L’intelligence artificielle, comme d’autres formes d’intelligence est-elle susceptible un jour, sans prévenir de « péter un plomb » ?
Les laboratoires SunOf, un organisme certifié par la OMDCDTP (Organisation Mondiale de Défense Contre les Dénominations Techniques Pompeuses) et fondé sur le principe de précaution, a été mandaté pour procéder à un audit et inspecter le quotient intellectuel et les limites cognitives de l’intelligence artificielle (IA)
L’équipement et le matériel de laboratoire nécessaire
Une AI – Intelligence artificielle (1) (ici, une cervelle de petit pois)
Un fusible (2) (historiquement aussi appelé un « plomb » et qui peut se péter)
Une source d’alimentation de courant électrique (3) et quelques câbles de laboratoire
Un haut-parleur (4) (Une IA (1) s’exprime par le truchement de la synthèse vocale (4))
Un test rigoureux de Quotient Intellectuel – Artificiel (QI-A) établi par les laboratoires de référence SunOf (5)
Fig 1. IQ-Test bench for IA
La procédure de test
Effectuer les branchements selon le schéma en veillant à respecter les différentes couleurs et les polarités.
Enclencher la source d’alimentation (3) , régler la tension fournie sur le maximum.
Patienter jusqu’à ce que l’intelligence artificielle (IA) (1) manifeste son intérêt (4) et sa volonté de passer ce test qui n’est pas fastoche (5) ce qu’elle a vite compris.
Écouter attentivement les manifestations sonores et vocales de l’IA par le truchement du canal audio (4)
Garder un œil permanent sur le fusible (2) Si une forte étincelle ou de la noircissure apparaît à l’intérieur de la surface en verre (2), le circuit d’alimentation électrique devrait s’interrompre aussitôt. Le test de QI-A (5) sera alors immédiatement interrompu et ne pourra plus être achevé ni réussi avec succès par l’IA (1)
Les résultat du test
Le résultat du test est « successful » dans les conditions suivantes :
Absolument toutes les réponses de l’IA (1) aux diverses questions du test de QI-A (5) sont correctes et ont toutes été fournies dans le délai imparti.
L’aspect et la couleur apparente du petit pois (IA) (1) sont restés identiques à ceux du début du test.
Aucun signe d’impatience ou d’énervement de l’AI (1) n’a été perceptible sur le canal audio (4) durant le test.
Le résultat du test est « failed » dans les conditions suivantes :
L’intelligence artificielle (IA) a clairement et visiblement pété le plomb ! (2)
L’aspect et la couleur apparente du petit pois (IA) (1) ne sont en rien comparables à ce qu’ils étaient au début du test. ( surchauffe dans le circuit, court-circuit, autre difficulté )
L’émission de grognements ou de grossièretés situés au-dessus du seuil limite admissible ont été constatés sur le canal audio (4) durant le test.
Résultat du test sur le Canal Audio (4)
Écoutez un extrait significatif de l”enregistrement effectué sur le canal Audio (4) durant le test
J’ai cette fois l’intimeconviction d’être entré par la grande porte dans la quatrième dimension ! Ce dessin avait été publié sans ce texte pour la toute première fois le 30 mars 2019. Il ne reposait alors dans le monde réel sur aucune intervention policière récente ni même sur le souvenir précis d’une répression mal vécue. Il n’était basé que sur une série de coups de crayons combinés au fruit mûr et croquant de mon imagination.
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Le 3 avril 2019, (soit cinq jours plus tard) dans un pays francophone voisin, une patrouille de police m’arrête à environ 150 mètres de la sortie du parking du supermarché. N’étant pas, à ce moment là en possession de mon lance-flamme et n’étant pas particulièrement un mordu des poursuites en automobile, j’ai décidé d’obtempérer à la sollicitation des forces de l’ordre et ai immobilisé la SunMobile en bordure de la chaussée. L’un des trois agents chargés de me prendre en chasse dans le but de me verbaliser, me demande alors si je sais déjà pourquoi je les aurais invités à faire usage de quelques rotations de gyrophare.
En quittant le parking, j’avais bel et bien repéré la Kangoo joliment décorée tapie dans l’ombre du giratoire, mais c’est sans avoir à cacher un nez qui s’allongerait d’un seul millimètre que j’ai répondu par la négative !
J’avais semble-t’il grillé un STOP situé juste à la sortie du parking. N’étant pas encore en possession d’une dashcam ni doté d’une mémoire cinématographique, je pouvais difficilement à moi seul contredire le témoignage accablant et concordant de trois jeunes “oeils” assermentés. En même temps, ils m’ont aussi laissé la vague (et la mauvaise) impression d’être en formation et dans le feu de l’une de leurs toutes premières expériences pratiques à chaud sur le “terrain”. L’un des leurs, semblait être chargé d’aiguiller les deux autres dans le “dépatouillage” du cas particulier que pouvait leur poser mon permis de circulation exotique et mon immatriculation étrangère…
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Soyons deux secondes un peu réaliste : Dans la vie il faut parfois se résoudre à prendre les choses avec un certain recul prémonitoire. Ces trois jeunes agents là, ils seront peut-être un jour destinés à passer les menottes à une figure du grand banditisme ou à un criminel d’envergure ! Lorsqu’ils seront mutés dans les quartier chauds d’une grande ville où ça chauffe bien plus qu’à la sortie du parking du supermarché local. Il faut bien qu’ils se fassent la main et je pense que nous devrions tous contribuer sans rechigner à la réalisation de leur potentiellement héroïque destin !
Et moi, je crois qu’à l’avenir, je devrais faire plus attention à ce que je dessine. Si ça va jusqu’à provoquer des bouleversement prémonitoires dans ma fatalité spatio-temporelle !!!
Ça restera un passe-temps très sympa mais qui pourrait aussi finir par me coûter bonbon en amendes d’ordre !
Une bonne nouvelle dénichée dans un article de presse sur internet :
… Les articles en plastique à usage unique tels que les pailles, les fourchettes et les couteaux, ainsi que les cotons-tiges seront interdits dans l’Union européenne d’ici 2021, à la suite d’un vote des législateurs européens, le bloc poussant les fabricants à intensifier leurs efforts de recyclage …
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Ça nous fera déjà une belle montagne de déchets qui n’ira pas flotter dans les mers et les océans pour probablement être ingérée par des animaux ! Ceux-là même que si nous ne les tuons pas pour les bouffer, agonisent avec ce qu’on leur jette à bouffer !
Et comme nous ne sommes pas du tout dans l’obligation d’attendre 2021, nous pourrions par exemple déjà commencer par systématiquement refuser la paille et le couvercle inclus dans tous les kits de malbouffe cheeseburger-soda en priant au passage leurs fournisseurs de fournir un quelconque effort. Si possible avant que nous ne soyons une fois de plus forcés de les y contraindre !
J’avoue que personnellement, je risque d’être emmerdé avec l’interdiction du coton-tige ! L’idée de revenir à la peu plaisante méthode d’origine avec l’auriculaire ne m’enchante pas plus que ça. Mais penser qu’un animal marin ou un oiseau sera convié au festin tragique de mon coton-tige triplement peu ragoutant, simplement pour que de mon côté je puisse bénéficier pour la journée d’une propreté de sou neuf à l’intérieur de mes conduits auditifs et sur le pourtour de mes auriculaires, soulève quelques questionnements dans les longs couloirs de ma conscience…
Comme nous vivons une époque où il est facile de heurter certaines sensibilités (j’ai parfois l’impression que nous vivons tous dans un navet diffusé avec le logo rouge) je peux imaginer que mon dessin provoquant là au-dessus ainsi que le jeu de mots grinçant du titre de cet article, choquera/choqueront quelqu’un, quelque part. Et idéalement aussi un certain nombre de ces personnes qui n’en ont absolument rien à secouer de la seconde vie des articles en plastique à usage unique et du régime alimentaire des animaux sauvages…
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NDLR : A part ça je suis assez satisfait d'avoir enfin retrouvé un peu de mordant dans la réalisation de mes petits délires ! Je n'en pouvais plus de me trouver trop mou des genoux. Un moral d'acier, une santé de fer et une tête de bois : Voilà qui est mieux qu'une déprime existentielle longue conservation sous cellophane...