Tag Archives: besoin de vacances

Point de départ !

..

J’en bien assez vu et assez entendu

Mes yeux, mes oreilles n’en peuvent plus

Je vais aller bouder dans un monde meilleur

Au pays des sourires et des fleurs

..

J’en ai bien trop bavé et trop vécu

Mes nerfs, mes tripes n’en peuvent plus

Je vais me révolter mais aussi m’enhardir

Au jardin des splendeurs et des plaisirs

..

Un petit texte positivant avec pour point de départ, la quatrième phrase de ce texte, agrémenté de cette irresistible envie de m’en aller visiter Tahiti au mois de mai, relevé des retentissements d’une période émotionellement riche et perturbante et le tout saupoudré d’une pellicule d’imagination ….

Cette semaine, je me suis mis au régime sans nouvelles du monde, en grève de réseaux sociaux, en mode récolte de rires tonitruants et en configuration moisson de bonnes humeurs … Une recette qui semble porter ses fruits pour le moment vu que je me suis remis à poétiser un peu !!! 

Soirée pyjama

Ne sortez pas ou alors sortez nuisette et bonnet de nuit !

Evitez les embouteillages et isolez vous de la fureur et du bruit.

A quoi bon partir pour aller transpirer dans une discothèque ?

Pour rentrer bredouille avec la tête comme une pastèque.

S’exposer aux inévitables casse-pieds et mauvaises rencontres ?

Allons, mieux vaut rester dans l’agrément familier de son antre.

Pour une fois, passez une soirée en votre propre compagnie.

Verrouillez de l’intérieur le loquet de votre porte de sortie.

Votre téléphone débranché est proclamé en dérangement.

Et pas le moins du monde de regrets quant à votre désistement !

Maintenant, appréciez le confort moëlleux de vos charentaises,

Et invitez-vous à vous installer comme chez-vous, à votre aise.

Servez-vous un grand verre de crystal de nectar de sérénité,

Et grignotez la gourmandise de la plus paisible des soirées !

Prenez le temps et saisissez la chance qu’il s’arrête…

Rien de prévu dans l’air qui fasse encore tourner la girouette !

Que sur le champ se manifeste celui qui s’oppose à cette parenthèse,

Ou alors qu’à jamais, mais au plus tôt jusqu’à demain, il se taise !